Ne diremo ciò che altra volta ne scrivemmo, cioè che può ad esse bastare l’aver servito alcuni anni di capitale a parecchie compagnie comiche.
Dans la même ville pendant toute l’année, les aveugles vont toujours trois ou quatre de compagnie, l’un d’eux joue du violon, et les autres chantent, et cela avec le goût qu’on peut s’imaginer ; ils chantent ordinairement aux coins des rues, ou devant les maisons, des cantiques spirituels, pour avoir l’aumône, mais très souvent ils chantent des vers à l’impromptu, et donnent des aubades à tous ceux à qui il leur plaît sans distinction, surtout aux seigneurs étrangers, qui vont en foule passer le carnaval dans cette ville.