Ainsi rien n’arrive dans cette pièce de dessein formé, et le hasard en produit seul tous les incidents. […] Mais pour mieux connaître l’art dont il s’est servi, examinons quelques-unes de ses pièces. […] Il est certain que de deux pièces de Ménandre, Térence n’en a fait qu’une, et que cependant chacune de ces deux pièces avait une action. […] Pièces que l’on dit être du poète Ménandre. […] Elle paraît dans la pièce.
« Dans la même année (1667) — dice il D’Origny Annales du Théâtre italien, Paris, 1788) — il a été représenté un assez grand nombre de pièces.
L’avvocato Linguet parlando dell’Inghilterra dice: «Comment y sont écrites les pièces dramatiques, épreuve assez sûre du goût d’une nation et du progrès des talents chez elle? […] Palissot) est très supérieure aux meilleures pièces de Campistron. […] E con egual sensatezza e criterio dice nell’anno letterario 1752 num. 19. pag. 258 : «Au grand art des Corneilles, des Racines et des Crébillons, a succédé une manie anglo-philosophique, sombre et dégoûtante, qui s’est emparée du théâtre; elle y monte pour débiter des diatribes contre la religion, pour lancer des sarcasmes contres sa morale, pour couvrir de ridicule ses pratiques sacrées et pour insulter à ses ministres; on connaît des pièces modernes où des actes entiers sont consacrés à ce noble dessein: et c’est par là qu’on prétend ravir à nos grands maîtres le laurier de Melpomène!
Des pièces de théâtre et des rares enfants. […] Gresset madama de Graffigny produsse la sua Cénie, che intitolò Pièce Nouvelle, la quale, benché non lasci d’interessare, é assai vicina alla viziosa ommedia lagrimevole241. […] Ces réflexions nous semblent trés fondées; mais l’esprit n’a plus d’objections contre cette pièce, l’une des meilleures qui aient paru depuis Molière, quand on entend ces vers si heureusement amenés par une situation qui n’a rien que de vrai: J’entends. […] Sans cette pièce et celle du Philosophe marié qui nous semble son chef-d’œuvre, on pourrait regarder l’auteur comme un des premiers par qui la comédie a dégénéré parmi nous. […] Cette pièce eut cependant du succès, comme l’ouvrage d’une femme, et parce que d’ailleurs elle fut très bien représentée: car c’est un avantage de ce genre médiocre, qui n’a aucun caractère décidé, d’offrir un succès également facile aux auteurs et aux acteurs qui n’ont pas assez de talents pour atteindre à la perfection du vrai genre.
Pour recompenser Aurélie, De la Pièce belle et jolie (Sous le nom de Comédia) Qu’à la Reine elle dédia, Cette Princesse libérale, Dont l’Ame est, tout-à-fait, royale, Au jugement des mieux sensez, Luy fit prézent, ces jours passez, D’un paire de Pendans-d’oreilles De diamans beaux à merveilles, Ouvrage exquis, rare et brillant, Travaillé des mieux, et valant (Ainsi que m’a dit certain Homme) De trois cens pistoles la somme.
J’ai toujours soutenu, que les pièces de M. de Campistron étaient pour le moins aussi régulièrement conduites que toutes celles de l’illustre Racine, mais il n’y a que la Poésie de style qui fasse la perfection des ouvrages en vers». […] Quand votre pièce serait conduite comme l’Iphigénie de Racine, les vers sont-ils mauvais, votre pièce ne peut être bonne».
Il donna son Caton mourant, pièce sagement conduite, mais mal versifiée et sans noblesse. Il fit ensuite un recueil de ses pièces, et de plusieurs autres auteurs en six volumes. Toutes ces pièces, excepté celles de M.
In questo frangente si nota peraltro che l’attenzione dell’autore si sofferma anche su pièces recentissime (quelle di Salìo, di Zanotti, di Recanati, di Conti e in ambito francese di Voltaire e di de La Motte), in virtù del fatto che il suo interesse nei confronti della drammaturgia non è tanto di natura archeologica, quanto piuttosto militante, e decisamente rivolto a incidere sugli sviluppi della drammaturgia contemporanea per rendere perfettibile la scrittura tragica italiana. […] In disaccordo con la teoresi drammaturgica francese, che sminuiva il valore patetico dell’agnizione, egli difende poi il meccanismo della riconoscenza, rifacendosi ad una tradizione italiana che, da Crescimbeni a Maffei, passando per Martello, riconosce nella anagnorisis una caratteristica peculiare dei drammi italiani e una risorsa irrinunciabile per aumentare la spettacolarità della pièce, interessando lo spettatore allo sviluppo della vicenda sino al suo esito conclusivo. […] Longepierre confrontava gli stili dei due drammaturghi: sontuoso ma talvolta affettato quello di Corneille, nelle cui pièce compaiono sovente ragionamenti più convenienti ad uno storico che ad un poeta; toccante, piacevole e più naturale quello di Racine, considerato un tragediografo indubbiamente migliore. […] Nel mezzo si conta un’altra replica di Bernard Le Bovier de Fontenelle («Parallèle de Monsieur Corneille et de Monsieur Racine par M. de Fontenelle» [1693], in Parallèle des trois principaux poètes tragiques français, Corneille, Racine et Crebillon, précédé d’un Abrégé de leurs vies et d’un Catalogue raisonné de leurs Ouvrages, avec plusieurs extraits des Observations faites par les meilleurs Juges sur le caractère particulier de chacun d’eux: ouvrage qui peut servir de supplément à l’édition du Théâtre de Corneille par M. de Voltaire, et d’Introduction à la Lecture des Chefs-d’œuvre Tragiques de la scène française, Paris, Saillant, 1765, pp. 115-139), tesa a sottolineare la supremazia di Corneille sempre a partire da una concezione etica del fine della letteratura: «On remporte des pièces de l’un [Corneille], le désir d’être vertueux; des pièces de l’autre [Racine], le plaisir d’avoir des semblables dans ses faiblesses» (ivi, p. 116). […] Il paraît par ses propres termes que la seule vue de défendre ce qu’il avait hasardé dans ses pièces l’a obligé à s’éloigner du sentiment d’Aristote, pour établir des règles qui lui fussent plus favorables» (ivi, p.
Francesca di Graffigny nata in Nansi nel 1695 e morta in Parigi nel 1758 diede al pubblico Cenia sotto il titolo di pièce nouvelle, nella quale imitò la Donna di governo di M. la Chaussée senza uguagliare l’ originale. […] Egli prevede che da questo matrimonio nasceranno Des pièces de théâtre & des rares enfans.
Les Chapitres de torcheculs de Gargantua, l’Oracle de la dive Bouteille, les pièces de Chrétien & de Hardy.
Francesca di Graffigny nata in Nansi nel 1695 e morta in Parigi nel 1758 diede al pubblico Cenia sotto il titolo di pièce nouvelle, nella quale imitò la Donna di governo di m. […] Egli prevede che da questo matrimonio nasceranno Des pièces de thèatre et des rares enfans.
Il faut ch’ils jouent dans des pièces encienes, et ils courent toujours le risque de la comparaison, e ordinariamente si verifica il proverbio italiano : Beati i primi.
Millet) que cette pièce fut jouée plus de vingt-trois ans avant la mort de Socrate, et que ce sage ne put être la victime des traits mordants qu’Aristophane a lancés contre lui.
Questo é un giudizio di un nemico di M. de la Motte: più sano é certamente quello del Signor Palissot: «La Tragédie d’Inès de Castro, pièce dénuée de poésie, mais d’un effet prodigieux au théâtre, conserva à la Mothe une longue célébrité».
Noi vedremo nell’analisi che ne faremo, che questa elevazione di sentimenti è denigrata dalle basse espressioni di Sempronio e Siface, e che i freddi amori di sei personaggi che gelano l’azione principale, non permettono che col medesimo enciclopedista si creda il Catone di Adisson la pièce plus belle qui soit sur aucun thèâtre .
C’ est l’auteur (di se diceva nel discorso premesso all’ Alzira) de quelques pièces qui nous ont fait verser des larmes, & de quelques ouvrages, dans les quels, malgré leurs défauts, vous aimez cet esprit d’humanitè, de justice, de liberté qui y regne.
Nonostante egli affermi la sua diffidenza verso il sistema tragico romantico, il giudizio sulla pièce non è del tutto negativo. […] Ecco le parole di Schlegel a questo proposito: Les sentiments qu’il sait exprimer ne sont pas, dès le commencement de la pièce, au plus haut degré d’exaltation, comme chez ces poètes tragiques qui possèdent à merveille, dit Lessing, le style de chancellerie de l’amour71. […] D’altronde anche le critiche delle messe in scena parigine comparse sulla Revue encyclopédique 78 in quegli anni si fanno testimonianza del clima mutato e il metro di giudizio fondamentale per l’analisi una pièce è ora lo sviluppo dei caratteri. […] Il recensore si esprime così nei confronti della pièce: Il a suivi dans cette pièce, le dessein, commencé dans Marie Stuart, de peindre des mœurs modernes avec des couleurs modernes; de douer à ses personnages cette vie réelle dont la vérité nous saisit, et non cette vie de convention dont la plupart de nos poètes dramatiques animent leurs héros80. […] Il Salfi, lettore e redattore della Revue, e probabilmente spettatore di queste pièces, non poteva restare impenetrabile di fronte a tali rivolgimenti.