Je ne crois pas devoir mettre au rang des tragédies les cinq poèmes de Parassol, puisqu’ils n’étaient, à proprement parler, que des pièces de vers tragiques, dans lesquelles on introduisait quelque personnage qui faisait des récits, des déclamations, des imprécations et même des dialogues, mais tout sans forme de représentation, et par un seul acteur seulement, qui, comme on l’a dit, variait sa voix et ses gestes.