J’avoue que les Anciens donnaient quelque hauteur de langage au cothurne An tragica desavit, et ampullatur in arte Horat. […] Les poètes français modernes on été critiqués assez vivement sur cet article par Riccoboni dans sa Dissertation sur la tragédie moderne , et par un autre écrivain italien anonyme dans le Paragone della poesia tragica : comme aussi par le sieur Bacelli dans la Préface de la Mérope de Maffei.