Les tragédies sont dans un style ampoulé sur des plans sans vraisemblance, presque toujours sans intérêt, ou avec un intérêt qui naît du jeu et non pas de la piéce. […] «La tragédie de Didon de M. le Franc de Pompignan (dice M. […] L’autore del giornale enciclopedico del 15 maggio 1770 dice: «Malheureusement Melpomène a quitté la scéne française, et au lieu de tragédies, nous n’avons plus que des lamentations bourgeoises, qui ne peuvent tout au plus exciter que quelques faibles sentiments de pitié. […] Il s’ensuivrait que tout rentrerait dans l’ordre naturel; on rirait à la comédie, et l’on pleurerait à la tragédie.»