D’autres en donnent le mérite à Emilio del Cavaliere, qui l’année 1590 fit représenter à Florence dans le palais du grand duc Il Satiro , et La Disperazione de Fileno , pastorales en musiques. […] Mais quand la représentation se fait dans le salon de Palacio, dans le Coliseo del ritiro, ou chez quelque grand d’Espagne des plus riches, c’est alors que l’on tache d’égaler ce qu’il y a de plus superbe dans l’Italie. […] Glauco schernito, favoletta da recitarsi in musica per gli intermedii del Corsaro Arimante, in Vicenza, 1610.