/ 534
355. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre II. De deux sortes de Danses, dont il est parlé dans l’Ecriture Sainte. » pp. 6-13

Esprit, ont fait extérieurement pour le culte du vrai Dieu.

356. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXVI. Sentiment de Saint Antonin. » pp. 93-96

Il est vrai qu’en cet endroit de sa seconde partie, après un fort long discours où il condamne amplement le jeu de dés, il vient à d’autres matières, par exemple à plusieurs métiers, et enfin à celui des histrions, qu’il approuve Ibid.

357. (1768) Instructions sur les principales vérités de la religion « CHAPITRE LII. De la Comédie et des Spectacles ? » pp. 142-146

La comédie, il est vrai, rend le vice ridicule ; mais elle ne le rend pas odieux : elle en fait rire, mais elle ne le fait pas pleurer.

358. (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16

Voici cette réplique : J’ai lu votre réponse, Monsieur, (je parle au Laïc,) et ne puis recevoir, comme vraies, les assertions qu’elle contient ; mais si j’ajoute, en ce moment, aux raisons que je donnais dans ma lettre à M. […] Il est vrai ; et c’est à ce mot que je borne ma réponse, que tout le monde peut aller à ces sortes de réunions, même ceux qui, par état, sont obligés à de grands ménagemens.

359. (1774) L’homme du monde éclairé « L’homme du monde éclairé » pp. 150-171

Je vous avoue, mon cher Comte, que la vie des petites villes est une vraie mort ; point de cafés, point de spectacles ; je me passe de l’un, mais je ne saurois me consoler d’avoir perdu l’autre. […] Il est vrai que Moliere décrie un peu le mariage ; mais cette union est relevée par d’autres poëtes comiques.

360. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VIII. » pp. 131-157

Tertulien, celui de tous les Peres qui a le plus écrit contre les Spectacles, & l’un des premiers en date, se borne, il est vrai, jusqu’au quatorziéme Chapitre de son Livre, à l’idolâtrie où l’on tomboit en se mêlant avec les Spectateurs ; mais à la suite il démontre le vice du Théâtre indépendamment des superstitions payennes dont il étoit pour lors infecté. […] Saint Thomas en dit tout autant, ainsi que nous l’avons observé plus haut ; on a voulu s’autoriser d’une décision de Saint Antonin mal entendue : alors le Théâtre n’étoit occupé que des exercices de la piété, & supposé que l’Italie ait eu d’autres Histrions, ce Saint Docteur ne les connoissoit pas, ou du moins ne les avoit-il point en vue, s’il est vrai qu’il ait avancé quelque chose en faveur des Spectacles.

361. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrysostome. » pp. 181-192

sont-ils donc trop forts pour peindre un lieu détestable, rempli de mille maux, la vraie fournaise de Babilone ? C’est une vrai fournaise en effet, dans laquelle le démon vous jette, c’est lui qui en allume les flammes ; ce n’est pas, comme les tyrans, du bitume, de la poix, des étoupes qu’il y emploie, mais des alimens plus combustibles & plus funestes, des ris dissolus, des discours obscènes, des airs lascifs, des objets indécens, des femmes immodestes, Les premiers feux étoient allumés par des mains barbares, & ceux-ci le sont par de mauvaises pensées, des désirs criminels.

362. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211

Ce n’est pas le vrai combat que vous devez soutenir, c’est la guerre contre les vices ; ce n’est pas la vraie couronne que le Chrétien doit remporter, c’est la couronne céleste ; ce n’est pas la carrière où vous devez marcher, c’est celle de la vertu.

363. (1579) De l’Imposture et Tromperie « Livre premier. Des jeux et autres observations séculières retenues de l’ancien Paganisme. Chapitre 22. » pp. 101-107

Car quant au service des prêtres peu le font en vraie dévotion, les uns le font d’une pompe et bravade, et de gloire s’écoutent et se regardent comme si le service de Dieu gisait à faire bonne et grosse mine. […]  » Cela même touche Saint Paul attribuant ce jeu malin, volupteux, ou avaricieux avec toute autre avarice à vraie IdolâtrieEn Exode 30y.

/ 534