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266. (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172

J’ai bien appris de l’Evangile, que l’Eglise est nommée une maison de priére ; Matth.

267. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172

Dans la comédie du Roi de Cocagne il y a un Poëte nommé la Fariniere, qui n’est que la copie d’un original qu’on a voulu tourner en ridicule, comme le Pourceaugnac de Moliere ; c’étoit un homme très-connu sous le nom du Poëte May.

268. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Remarques Angloises. » pp. 133-170

Tous les deux devoient se faire sans rire, malgré les grimaces d’un bouffon nommé Jean Potage, qui se tenoit à leur côté sur le théatre.

269. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139

Il pouvoit faire un quatrieme cas de ce qu’il dit de François I. je ne sais sur quel fondement : Ce mal terrible, dont notre bon Roi François I. pouvoit dire, Et la garde qui veille aux barrieres du Louvre n’en défend pas les Rois, lui fut donné par la femme d’un nommé Lunel.

270. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106

Il avoit suivi trois ou quatre mois l’Université, & avoit entendu nommer Accurse, Alciat, Cujas, Bartole, dont il parle dans Pourceaugnac.

271. (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36

vn prestre nommé Epachius des plus notables familles de Riom sortoit souuent de l’Eglise la veille de Noel pour boire mesmes apres minuict, peu de temps apres, comme il disoit la messe solemnelle, außitost qu’il eut mis en sa bouche le precieux sacrement & l’eut baillé aux autres se print à hannir comme vn cheual tomba par terre, & escumant reietta ce qu’il auoit pris, fut emporté par ses seruiteurs hors l’Eglise & le reste de ses iours vesquit epileptique  : Le mesme recite vne autre exemple aduenu à Lyon.

272. (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410

Si toutes les femmes étaient d’aussi bonne foi que vous, Madame, elles avoueraient avec la même ingénuité, qu’elles ne savent ce que signifient proprement les termes de Tragédie et de Comédie : Ce sont les deux espèces qui divisent le Poème dramatique : Peut-être que ce mot est encore un mystère pour bien des femmes ; cette espèce de Poème est nommée de la sorte, parce qu’il représente quelque action, et il est différent des autres qui se passent en simples récits.

273. (1640) L'année chrétienne « De la nature, nécessité, et utilité des ébats, jeux, et semblables divertissements. » pp. 852-877

Vous serez comme les trois enfants jetés dans la fournaise ardente en Babylone, un seul cheveu de leur tête n’en fut point brûlé, ni leur robes aussi ; ains cette fournaise leur servit de rafraîchissement, comme une douce rosée ; une mauvaise pensée représentée par les cheveux, le dérèglement en votre corps, qui est comme la robe de l’âme, ne se trouveront point en vous : ains (ce qui est plus admirable, et qu’est arrivé à quelques bonnes âmes que je ne puis nommer, parce qu’elles vivent encore) vous sortirez de ces lieux-là, avec la douce rosée de la dévotion, et de l’union avec Dieu, comme si vous sortiez d’une Prédication, ou d’une Méditation ; ceci semblera étrange à ceux qui ne connaissent pas, comme Dieu traite les âmes qui lui sont fidèles en tout et partout ; ce que j'écris est néanmoins véritable.

274. (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152

Je ne vous nomme que ceux qui se sont présentés les premiers à mon esprit : je pourrais parler d’une infinité d’autres caractères de cette nature, qui quoique fort éloignés des tendresses de l’Amour, ont ravi et ravissent encore ceux qui les voient.

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