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289. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168

Ils auroient beau s’autoriser du grand nom d’un Empereur, l’effeminé Othon ne fait que les rendre méprisables comme lui ; ainsi nos petits maîtres ont beau citer le grand monde, & même les actrices, qui sont le prototype des graces, ils n’en méritent qu’un plus grand mépris, en suivant un modele si décrié par tout où l’on respecte la vertu.

290. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. Aveux importans. » pp. 83-110

Marot étoit un débauché & un impie, emprisonné pour ses crimes, il n’évita le dernier supplice que par la fuite, & alla mourir de misère en Piémont, il plut à quelque Prince & dût sa réputation à l’irréligion & à l’obscénité, il a des saillies, des tours ingénieux, des naïvetés agréables ; en élaguant ses poésies & en ramassant ce qu’il a de bon, on feroit une vingtaine de pages, tout le reste mérite le sort que sa personne avoit mérité ; il a osé toucher aux Pseaumes de David, & en a traduit quelques-uns, ou plutôt les a défigurés & prophanés, on n’en peut pas lire un seul, il n’est pas moins barbare qu’Hétérodoxe.

291. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE I. Préjugés légitimes contre le Théatre. » pp. 4-29

Nous nous soumettons avec humilité à toutes les réparations qu’on exigera de nous ; déjà plusieurs de nos camarades subissent le juste châtiment qu’ils ont mérité.

292. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

Elle méritoit l’un par ses mœurs, l’autre par sa platitude.

293. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84

Après un arrêt prononcé par une bouche si respectable, oseroit-on faire grace à des ouvrages qui paroissent le plus la mériter ?

294. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE II. Des Masques. » pp. 28-54

travaille-t-elle à les corriger, à les couvrir du ridicule & de la haine qu’ils méritent ?

295. (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88

Selon que je le puis appercevoir, et crois l’avoir remarqué, au temps des Saints qui ne l’ont pas blâmée, comme saint Thomas, et les autres qui se sont expliqués comme lui : c’était si peu de chose, qu’elle méritait à peine d’être regardée : c’étaient des récits simples de sujets ordinairement saints ; mais si dénués de tous les ornements dont elle est revêtue et reparée à présent, que cela n’est pas concevable. […] Ils ne savent ce qui a été ordonné de leur salut dans les secrets de Dieu ; ils ignorent le moment auquel ils doivent être presentés à son terrible jugement ; ils ont pour la plupart des péchés considérables sur la conscience dont ils n’ont point fait pénitence, ni rien qui peut leur en mériter le pardon ; et avec tout cela, ils ne songent qu’à passer la vie dans le divertissement, et à donner à la joie tout le temps dont ils peuvent disposer ; ils accordent à leur sens les plaisirs les plus capables de les corrompre, et exposent leurs âmes aux dangers les plus évidents de les perdre, comme si tout était en sûreté pour eux.

296. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

La seule Sapho, que je sache, et une autre, méritent d’être exceptées. […] Rousseau, qu’il connaît deux femmes, Sapho et une autre, qui méritent d’être exceptées, il se trouverait, au bout du compte, autant de femmes capables de décrire et de sentir l’amour, qu’il y aurait eu d’hommes capables de l’inspirer ; et si M. […] J’en ai dit assez, j’en ai trop dit peut-être, et encore n’ai-je pas relevé tous les traits qui dans cet ouvrage mériteraient d’être discutés.

297. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

avec les éloges qu’ils méritent.

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