On m’a instruit, mon cher ami, du beau tour que vous m’avez joué, il m’est impossible de vous rémercier dignement, & d’autant plus impossible, que je suis assez malade, il ne faut pas vous témoigner sa reconnoissance en mauvais vers, cela ne seroit pas juste ; mais je vous dirai ce que je pense, en prose très-sincere : c’est qu’une telle bonté de votre part, & de celle de Mlle.
.° C’est encore une leçon de modestie, non-seulement par l’air sérieux & grave, qui bannit les legeretés, & l’embarras, & qui y met des entraves, mais encore parce que les habits cachent les pieds & la chausseute, & défigurent la finesse de la taille, graces, dont toutes les femmes sont très-jalouses ; aussi ont-elles grand soin de les faire relever par des petits Caudataires, qu’on instruit & qu’on exerce, & à qui on recommande de les tenir élégamment levées, pour ne pas priver le public de la vue de toutes ces beautés, & les Dames à queue de la gloire qui leur en revient, & des conquêtes qu’elles peuvent faire.
Ce Ministre l’aima, l’instruisit des affaires, en fit un bon Négociateur, & le fit valoir à la Cour, où il fut employé avec succès.
Heureusement le gouvernement est instruit de ces opérations militaires, & envoie des gardes pour maintenir le bon ordre.
Gesner, apparemment peu instruit, prend son pöeme pour un drame : en effet, ce n’est qu’une suite de conversation, qu’il promene dans la campagne, entre six personnes dont le verbiage ne finit point.
Ces grossieretés écrites en Latin, sans sel, d’un style barbare, chargées de citations, sont à peine lûes une fois dans la vie par quelque Ecclésiastique, non pour s’amuser, mais pour s’instruire de la décision de quelque cas.
, p. 268 : « mais il obtient tous les suffrages celui qui unit l’utile à l’agréable [et plaît et instruit en même temps] »].
La piété des Païens nous instruit ; l’Ecriture s’en sert pour nous confondre : « Transite ad insulas Cethim, et ipsi non sunt Dii. » Leur irréligion facilite, prépare celle des Chrétiens.
.), mieux instruit que Piganiol, nous apprend que Josias Soulas, dit Floridor, fut attaqué comme usurpateur du titre de noblesse, et sommé de produire ses titres.