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251. (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258

Page 64 Espionnage du jésuitisme, au moyen de confesseurs curieux, qui, au tribunal de la pénitence, questionnent adroitement les maris et les épouses, les enfants et les valets.

252. (1640) Lettre apologétique pp. 2-42

Or après que ce tison d’enfer eut acquis quelque réputation parmi les Grands, à raison de ses bouffonneries et mots facétieux, il voulut pour augmenter le plaisir de ses Auditeurs, faire des tragédies entières, et pour les représenter s’associa de plusieurs garcesf, et enfants perdus, qui furent nommés Scéniques, à cause qu’ils discernaient leurs actions par scènes, comme témoigne Zénodore, en la troisième Epitre contre Apollinarius.

253. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre I. Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie ? » pp. 8-25

Je ne dis pas que cette négligence tarira la source des profits du Palais, que ce goût ruineux expose à mille folles dépenses, qu’une femme et des enfants à qui on le souffre et l’inspire, diminuent tous les jours un patrimoine qui n’est pas toujours opulent, et entraînent dans le précipice que le théâtre a creusé ; ces vues ne sont pas assez nobles, du moins est-il de la noblesse des sentiments de conserver la décence et les marques de la dignité.

254. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre I. Est-il à propos que la Noblesse fréquente la Comédie ? » pp. 3-19

Les premiers Empereurs Chrétiens, Constantin et ses enfants, en bannirent toutes les infamies que le paganisme y avait souvent tolérées, et le mirent sur le pied où nous le voyons, peut-être même fut-il plus régulier qu’il ne l’est aujourd’hui.

255. (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32

L’on peut même assurer qu’il n’y a rien de plus propre à inspirer la Coquetterie que ces Pièces, parce qu’on y tourne perpétuellement en ridicule les soins que les pères et les mères prennent de s’opposer aux engagements amoureux de leurs enfants

256. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Madame de Longueville. » pp. 40-83

Elle se jette entre ses bras, & après avoir reçu les plus sages leçons de sa tante, elle rentra, comme l’enfant prodigue, dans la maison de son mari. […] La Duchesse eut grand soin de cet enfant.

257. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE V. Réforme de Fagan. » pp. 110-128

Un enfant riroit de cette objection.

258. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE III. Des Pièces de Collège. » pp. 48-67

Je suis pourtant persuadé que les innombrables pièces que les Jésuites ont données dans leurs collèges ; l’idée et le goût du théâtre, qu’ils ont partout inspiré, sans doute sans le vouloir, aux enfants, à leurs familles, au public ; cette espèce de décision pratique de gens très respectables, qui lève insensiblement tous les scrupules ; la connaissance des Auteurs, la lecture des livres dramatiques, qu’ils ont facilitée et accréditée ; ces danses, ces décorations, ces habits, ce jeu, qu’ils ont pompeusement mis sous les yeux ; que tout cela est une des causes imperceptibles de leur suppression.

259. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VI. Du Cardinal Mazarin. » pp. 89-108

Louis XII fit composer par les Enfants sans souci trois Soties ou Sottises, farces du temps, contre Jules II et sa cour, où l’on mêlait le Clergé, la pragmatique sanction, etc.

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