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352. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

C’étoit la foiblesse d’Henri III, du Duc de Joyeuse, de Monsieur, frere de Louis XIV, de l’Abbé de Choisi, indécence aujourd’hui si commune dans tous les états, l’Eglise, la Robe, l’Epée, jusqu’au Négociant, au Bourgeois, à qui ce goût, ou plutôt cette fureur, ce délire pour la parure fait tourner la tête.

353. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29

A Siam les spectacles que nos Casuistes condamnent comme un signe de réprobation, l’opinion commune les consacre comme un acte de piété, dit l’Abbé de Laporte (Voyag.

354. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE II. Des Masques. » pp. 28-54

Le masque de la galanterie est de tous le plus dangereux & le plus commun ; tout est contrefait en amour, & c’est la voie la plus sûre de séduction.

355. (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30

Je pris ma canne et mon chapeau, et je sortis de ce trou perfide, où des cannibales dramatiques se permettent, avec permission du maire de la commune, d’écorcher, deux fois la semaine, d’aimables productions, qui perdent tout en passant par la bouche de ces cuistres, qui s’arrogent effrontément le nom d’artistes.

356. (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84

Comment ferez-vous, dites-le-moi, pour allier maintenant les Spectacles avec votre Baptême, et pour vous persuader qu’ils n’ont rien de commun avec ces maximes du monde auxquelles vous avez renoncé ?

357. (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45

Députés des Communes de France, éloquens soutiens de l’Assemblée Nationale ; & vous, Nobles, qui avez protesté contre l’esprit de scission, & qui voulez être de la Nation Françoise ; & vous, Prêtres, qui ne dédaignez point le nom de Citoyens François ; c’est à vous maintenant que je m’adresse.

358. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VII. Histoire des Cas de Conscience. » pp. 159-189

Ce même étranger, pour s’assurer le thrône qu’il trouva le moyen d’envahir, fit mourir Antigone, son compétiteur, Hircar, grand Pontife, son aïeul, toute la race des Ammoniens, tous les grands qui lui faisoient ombrage, & une infinité de personnes du commun que les crimes irritoient contre lui ; & pour comble d’horreur des milliers d’enfans, pour envelopper dans ses massacres le Sauveur du monde, parce que le Mages qui étoient venus l’adorer, l’appelloient Le Roi des Juifs.

359. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

Il fit fouéter sur les trois théatres, & bannir de Rome, un acteur qui se fusoit servir par une femme habillée en homme ; déguisement assez inutile ; la débauche des acteurs est si commune, que personne ne s’en avise Apparament celui-ci faisoit l’homme de bien, on punit son hypocrisie.

360. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Mêlanges Dramatiques. » pp. 8-39

Cette traduction a peu coûté : un autre allemand avoit déjà traduit une partie de ces œuvres ; on l’a employée sans façon : tout est commun entre compatriotes.

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