Si, à la sublimité de la morale prêchée par notre maître, on reconnaît déjà sa divine origine, combien, mes chers auditeurs, les paroles que je viens de citer et qui sont sorties de sa bouche, ne devaient-elles pas disposer les cœurs à son adoption, et préparer la faiblesse humaine à en accepter, je ne dirai pas le fardeau, mais la douceur et la consolation !
Qu'on ne cite point ici les pièce de Collège pour justifier les jeunes gens qui vont à la comédie.
Je ne cite cet article que pour montrer que ceux qui voudront sérieusement comparer le Théâtre des Comédiens avec la sainteté de l’Ecriture, auront horreur de penser qu’on veuille les joindre.
Il ne paraît pas aussi que le « Prélat qui gouverne ce grand Diocèse », ait jamais donné lieu de le citer en faveur de la Comédie.
J ai dit que je parlerais de plusieurs autres comédies ou entreprises de réformes, qui ont concouru à notre dissolution : j’en citerai encore de préférence quelques-unes du même auteur, par la même raison qui m’a déterminé à préférer l’exemple du Tartufe.
Parmi cent morceaux qu’il auroit pu citer, il choisit je ne sais pourquoi, une prétendue lettre très-libre d’une jeune fille qui a trouvé très-licentieusement le moyen de multiplier les mariages , & se dechaine scandaleusement contre la vie Religieuse.
Si l’on examine même l’objection qu’on a déjà citée un peu de près, l’on verra que ce saint Docteur n’a jamais approuvé les Comédiens dans la pratique ordinaire ; car dans cette objection il se propose de montrer que l’excès du divertissement peut être sans péché. […] Cet Auteur s’en est expliqué par ce qu’il en a écrit dans la troisième partie, et par ces paroles qui suivent immédiatement celles qu’on vient de citer Ibid.
Elles y furent unanimement adoptées, elles y sont tous les jours citées dans les Tribunaux, & la plupart sont en effet très-importantes.
Il ne répondit point à leur censure, comment eût-il osé les citer au tribunal de la religion ?