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297. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE III. De la Comédie. » pp. 92-118

L’enfance, les premières années de l’adolescence, laissent encore trop de pouvoir sur leur cœur à des impressions libertines : mais vous m’avouerez que ce qui est très dangereux à douze ou quinze ans, est très indifférent à vingt-cinq ou trente.

298. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142

année 1665.

299. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74

Il s’en forma une autre l’année suivante au faubourg S.

300. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175

Après avoir représenté pendant plusieurs années, Izabelle abandonna son mari, et s’en retourna en Italie.

301. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre III. Du Cardinal de Richelieu. » pp. 35-59

La fermentation des guerres civiles, qui éclata de nouveau quelques années après dans les affaires de la fronde, fermentation qui, comme on l’a souvent remarqué, donna à Corneille cette élévation, ce nerf, cette fierté de style et de sentiments qu’on admire, ne contribua pas peu à lui donner de la vogue.

302. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54

Une expérience de six mille années, dans le monde entier, a appris au genre humain qu'il n'est rien de si pernicieux que le mauvais exemple ; dans toute bonne éducation on écarte, autant qu'il est possible, la vue et l'idée du vice, mauvais livres, mauvais discours, mauvais tableaux, mauvaise compagnie ; on présente de bons modèles, de bons exemples, etc.

303. (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84

C’est à vous que je m’adresse ici, Prédicateur Apostolique, qui vous appuyant sur la Sainte Ecriture, nous disiez il y a douze jours que la priere d’un pécheur qui dans le secret de son cœur conserve quelque attache pour son péché, est une priere exécrable : Comment donc faut-il appeller ces invitations, venite justi, exultemus , qui nous sont faites de la part de ces pécheurs publics qui s’affichent tout le reste de l’année pour nous inviter à leurs assemblées criminelles ? […] ou parce que  Ton tonnerre prêt à partir Est arrêté par ta clémence, t’outragerons – nous tout le reste de l’année ?

304. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168

Je vis ce recueil, une seule année avoit fourni plus de huit cents especes de rubans, outre les couleurs dont les nuances & les combinaisons sont infinies ; on y met tout ce qu’on veut, des fleurs, des fruits, des animaux, des hommes.

305. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137

C’est ce que j’ai vu & pratiqué comme les autres pendant plusieurs années que j’ai eu le bonheur d’y passer sous le gouvernement de MM.

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