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241. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35

L’Héroïne Favard est la premiere qui ait changé cet usage absurde, ce qui lui fit des affaires avec ses camarades.

242. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35

Il y a des tribunaux pour les affaires de religion, il y en a pour la littérature ; car y a-t-il quelque chose qui ne soit de la compétence des Dames ?

243. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

si vous me dites, que ces génies rares n’ont point assez de lumieres & de goût, pour juger cette affaire, il sera donc faux de dire, que l’utilité de notre Comédie moderne, ne peut se révoquer en doute ; & que c’est sans raison, que vous assurez, qu’elle est tellement épurée, qu’il n’y a rien, que l’oreille la plus chaste ne puisse entendre. […] Si négliger l’affaire du salut, diroit un autre, si renvoyer la pénitence dans les cloitres, si aimer le monde avec ses manieres de penser & d’agir, sont des preuves du plus déplorable des aveuglemens, comment cet aveuglement a-t-il pu avoir, & pourquoi a-t-il encore tant d’apologistes & de partisans ?

244. (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172

voulant marquer par-là, qu’un homme sage devoit estre uniquement occupé à regler ses affaires, & à gouverner sa famille ; & qu’il ne pouvoit goûter de plaisir plus innocent, que celuy que donnent une Epouse fidele & des enfants bien élevez.

245. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40

Voyez cette multitude de Teiniers & de Calots, il s’amuse de ces trognes bachiques, de ces attitudes grotesques, de ces caresses rustiques, des danses, des foires, de ces nageurs, de ces chasseurs, &c. il en amuse ses convives, & au milieu de ces bouffons, de ces arlequins, il traite les affaires les plus sérieuses.

246. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139

Les aspirans à la gloire de ces combats iroient la veille inscrire leur nom & leurs qualités chez un Commissaire chargé de ce détail, ils tireroient au sort, & lorsque chacun de ces Messieurs auroient su l’athlète auquel il auroit affaire, ils pourroient aller souper tous ensemble comme d’honnêtes gens qui s’égorgeront le lendemain, mais sans se haïr, & seulement parce qu’ils ont du cœur.

247. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183

En un mot, les Grecs fesaient de la musique, telle qu’ils la possédaient, une affaire de religion & de politique ; il était défendu sous des peines èxpresses d’oser y toucher, fut-ce même pour la rendre plus parfaite.

248. (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71

Louis XIV l’encourageoit, le caressoit, le consoloit & le soutenoit seul contre les cabales sourdes de la Cour & de la ville ; souvent il se faisoit une affaire du jeu de ses pieces.

249. (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36

les Daulphins tressaillans & rejaillans prés des vaisseaux sont presages de tempestes & orages prochains, aussi nous qui sommes marquez au Dauphin & en portons les armes saultant masquez au deuant de la nef de l’Eglise Cathedrale, auons pronostiqué les malheurs qui nous accueillent, si Dieu ne retire sa main vengeresse de nos folies & le Roy n’a pitié de nous ses tres-fidelles seruiteurs & subiects, vn abysme d’affaires qui n’a ny fonds ny riue nous accablera tous.

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