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474. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614

Sentiment de l’existence de Dieu, a, 130. […] Pensée sur la dépendance des Empires à l’égard de Dieu, 324. […] Combien il est rare qu’ils reçoivent de Dieu un cœur pénitent, 525 Estrade (d’), Jésuite. […] Citation de son Discours couronné en 1709, sur la Crainte de Dieu, 137.

475. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106

Vauxhall est un nom corrompu de Vahal, mot Danois qui signifie le palais où se tenoit le principal Dieu des peuples du nord, Oudin, avec toute sa cour. […] La Robe a été moins galante que l’épée, elle a pris en considération le service du Roi dans la conservation du fort, & celui de Dieu dans les bonnes mœurs, l’un & l’autre exposés aux plus grands dangers par cet assemblage scandaleux d’objets, d’occasions, de facilités, dont personne ne dispute la premiere idée à Moliere, depuis si bien dévéloppée par ses admirateurs. […]   Tendre amour, toi qu’on y revere,  Dieu du plaisir & père du bonheur, Viens regner chez Torré, c’est la ton sanctuaire.

476. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE V. En quoi consiste le Plaisir de la Comédie, & de ce Sel qui assaisonnoit les Comédies Grecques. » pp. 131-144

Jamais Poëte ne fut si extravaguant en apparence, & ne traita des Sujets si sérieux : mais jamais Poëte ne put traiter de pareils Sujets, que dans une Ville où toute critique étoit bien recue sur le Théâtre, pourvu qu’elle fût tournée de façon, qu’elle fît rire : les Atheniens s’imaginoient que quand Bacchus étoit fustigé sur leur Théâtre, ce Dieu en rioit lui-même.

477. (1705) Traité de la police « Chapitre premier. Des Spectacles anciens, leur origine, leur division, leurs dérèglements, et les Lois qui ont été faites pour les réformer. » pp. 434-435

ne les regardaient point, et s’émancipaient d’y contrevenir ; cela donna lieu à une Loi de Théodose le Jeune, et de Valentinien de l’an 425. « Elle porte de nouvelles défenses, de représenter aucuns jeux, soit du théâtre, soit du cirque le jour du Dimanche, et y ajoute les jours de Noël, de l’Epiphanie, de Pâques, les cinquante jours d’entre Pâques et la Pentecôte, et les Fêtes des Apostres, afin, dit cette Loi, qu’en ces saints jours, le Peuple n’étant point distrait par des plaisirs profanes, put appliquer tout son esprit au service de Dieu.

478. (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME. »

Prêche le double amour de Dieu et du Prochain, 312.

479. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Théatre de Pologne. » pp. 80-105

En attendant il en a été l’antidote : on est allé de l’église à la comédie, ç’a été la derniere station de la procession, les acteurs ont pris la place du prédicateur, & l’on courut cueillir aux pieds d’Arlequin le fruit de la parole de Dieu. […] Les anglois, ces philosophes par excellence ; au jugement desquels Dieu même est soumis ; les anglois ne sont pas plus sages.

480. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Riccoboni. » pp. 4-27

Dieu ne fait pas à tout le monde la grace qu’il a fait à celui-ci, quoiqu’une résistance de quarante ans l’en eût rendu bien indigne. […] Que sera-ce du jugement de Dieu, qui les condamne toutes avec leurs Auteurs & leurs Acteurs pendant l’éternité ?

481. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100

Peut-on regarder comme innocent ce que la religion fait arroser de larmes, et dont on craint de rendre compte au jugement de Dieu ? […] Un jour, revenant d’un grand repas, il fut appelé dans la rue pour confesser un homme qu’on venait de blesser à mort ; il s’approcha de ce mourant, et pour toute exhortation, il lui dit : « Mon camarade pensez à Dieu, dites votre Bénédicite », et s’en alla.

482. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54

J'admire leur génie, mais je remercie Dieu de ne me l'avoir pas donné. […] Je prie Dieu de ne pas me donner leur goût.

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