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199. (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12

Vous n’avez pas considéré que ni M. d’Urfé, ni Corneille, ni Gomberville, votre ancien ami, n’étaient point responsables de la conduite de Desmarets.

200. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100

On voit ainsi plusieurs Auteurs, et surtout Corneille, Racine, Quinaut, Boursault, Floridor, etc., se repentir et faire pénitence de ce qu’on ose justifier.

201. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566

On a dans le Recueil de ses Dissertations sur les Tragédies de Corneille & de Racine, un Dialogue, dont l’objet est de prouver la possibilité de faire avec succès une Tragédie sans amour. […] Fagan a témoigné conserver quelque respect pour les Censures ecclésiastiques, puisqu’il est convenu que « Corneille. […] Elle fut réimprimée en 1773, pour, dit avec justice l’Editeur, remettre sous les yeux ce qui a paru de plus sagement pensé & de mieux écrit sur les productions & le genre de Corneille & de Jean Racine. […] « Il n’y a point en cela d’exception à faire de Nation ni d’Auteur ; François, Anglois, Espagnols, Italiens, Habitans du Nord, Corneille, Racine, tous se réunissent pour consacrer à l’amour la muse de la Tragédie. […] Corneille, Racine, Moliere, suivant lui, n’entendoient rien à l’Art dramatique.

202. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142

        Le masque tombe, l’homme reste,         Et Corneille s’évanouit, Et Racine, Moliere, Crebillon, &c. s’évanouissent.

203. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

Il faut qu’en comparant Bourdaloue à Corneille, Patru à Baron, un Danseur à Pecour, un Musicien à Lulli, on approuve la comédie & l’opéra.

204. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE III. Immodestie des Actrices. » pp. 57-84

J’aurois pourtant peine à interdire la lecture des belles tragédies de Corneille (car il s’en faut bien que toutes le soient).

205. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE I. De l’Amour. » pp. 4-29

En voici, disoit l’Avocat, une preuve que je voudrois pouvoir dissimuler ; sa bibliothèque est composée des Œuvres de Corneille, Moliere, Racine, du Théatre Italien ; le Théatre y est complet, &c.

206. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE III. Réformation de l’Abbé de Blesplas. » pp. 55-81

Corneille, Racine, Crébillon, Voltaire, ne sont point obscènes.

207. (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46

Vous les avez conduits aux tragédies de Corneille, & de Racine ; ils ont vu jouer Moliere ; mais votre sagesse ne vous a pas permis de leur laisser voir toutes ses comédies.

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