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128. (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44

. » Satan répond. […] Voici ce que Lucifer répond : » Dyables dampnez en malediction » Dessus vous tous par puissance interdicte » Ma patte estends qui est de Dieu mauldicte » Pour de tous maulx & malfaicts vous absouldre » Couverts soyez de fulminante fouldre.

129. (1753) Compte rendu de Ramire « Compte rendu de Ramire » pp. 842-864

A cela il répond, 1°.  […] On répond que les Comédiens n’en sont pas assez exempts pour les corriger.

130. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « EXTRAIT Du Journal de Trevoux ; Mois d’Avril 1753. Art. XXXIX. » pp. 59-70

A cela il répond, 1°. […] On répond que les Comédiens n’en sont pas assez exempts pour les corriger.

131. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre XIII. S’il est nécessaire qu’une Pièce de Théâtre plaise autant à la lecture qu’à la représentation. » pp. 359-363

Mais on répondra qu’il faut avoir la force & le courage de les vaincre, une chose a d’autant plus de mérite qu’elle offre plus de difficultés à surmonter.

132. (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « XII. » pp. 58-61

Car on dit que soutenant dans une Thèse quelqu’une de ces Propositions condamnées, sur ce qu’un des Disputants objecta le Décret de Sa Sainteté, votre Président répondit gravement, Que le Pape n’y avait pas parlé ex Cathedra .

133. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XVII. On y risque tout par une seule assistance. » pp. 40-44

Nous ne répondrons pas nous-mêmes à cet objection.

134. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « V. Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sensuel, en le faisant aboutir au mariage.  » pp. 19-24

On répond que pour prévenir le péché, le théâtre purifie l’amour ; la scène toujours honnête dans l’état où elle paraît aujourd’hui, ôte à cette passion ce qu’elle a de grossier et d’illicite : et ce n’est après tout qu’une innocente inclination pour la beauté, qui se termine au nœud conjugal.

135. (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 7-8

Augustin, et par conséquent plus voisins des apôtres, et ils jugeaient ces divertissements si contraires au christianisme, qu’ils ont fait des livres entiers (Tertul. de Spectaculis, cap. 27.) pour les réprouver et condamner ; et pour montrer qu’ils ne parlaient pas seulement contre les spectacles des païens, où se commettaient des homicides et des impudicités publiques, Tertullien apporte l’objection que vous avez coutume de faire : On n’y fait point de mal, on n’y dit rien qui ne soit honnête, et il répond : Celui qui veut empoisonner son ennemi, ne détrempe pas le poison dans du fiel ou dans du vin d’absinthe, mais dans un bouillon bien assaisonné ou dans du vin délicieux.

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