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275. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31

Il est vrai qu’il hasarde quelquefois des pensées & des expressions qui ne sont pas dans la saine Théologie.

276. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VII. Suite de l’Indécence. » pp. 138-160

a-t-on besoin d’y chercher ni sentimens, ni pensées, ni expressions ?

277. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE III. Théatre de S. Foix. » pp. 52-75

C’est une illusion de l’amour propre, une fadeur de ses flatteurs, que cette fécondité, cette variété, ce génie qui diversifie si fort ses pieces, qu’elles n’ont pas même un air de famille ; on ne sauroit s’y méprendre, c’est par-tout de la finesse, de la légèreté, de l’élégance ; mais c’est le même goût, la même gaze, le même libertinage, les mêmes allures, la même marché ; ce sont des sœurs habillées de différentes couleurs, mais tout décelle la famille, & rend en différens termes la même pensée, le même esprit, le même cœur.

278. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58

Les pensées, les peintures indécentes qui fourmillent dans les Pièces du Théâtre moderne lui ont attiré grand nombre d’énnemis, & grossissent chaque jour le nombre de ceux qui le méprisent.

279. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81

« Il possédait mon cœur, mes désirs, ma pensée ; Je ne lui cachais point combien j’étais blessée ; Nous soupirions ensemble, et pleurions nos malheurs : Mais au lieu d’espérance, il n’avait que des pleurs. » Cet amour continue, après même qu’elle eût été mariée à un autre.

280. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE II. De la Tragédie. » pp. 65-91

J’entendais faire de toute part au poème l’application de cette pensée de Lucrèce : « Tantum Religio potuit suadere malorum ! 

281. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119

Jamais profanation plus éclatante que celle du théâtre ; ce n’est pas une conversation particulière, où quelque bouffon détourne à un sens profane quelque mot de l’Ecriture, c’est ici une pièce entière, où de propos délibéré, avec le plus d’art et de réflexion, on change, on ajoute, on retranche, on altère, uniquement pour amuser le parterre, le texte, les pensées, les événements des livres saints, souvent avec la plus grande indécence, par des épisodes et des personnages qui y mêlent la galanterie et le crime.

282. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

Qui peut soutenir ces innombrables répétitions de mots, de pensées, de phrases, qui font la moitié de cette assommante production ?

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