L’auteur de ce livre anonyme, par un reste de pudeur sans doute, n’a pas osé compromettre son nom, craignant de lui faire partager l’infamie dont cette honteuse production sera à jamais flétrie. […] bientôt il commanderait en maître aux gouvernements assez dociles, pour devenir les bourreaux serviles des vengeances sacerdotales, bientôt il pourrait livrer aux bras séculiers, tous ceux qui ne voudraient pas croire à des vérités religieuses et légales, bientôt il obtiendrait le rétablissement de ce tribunal de sang, qui portait un nom dérisoire, celui de saint Office, bientôt il remettrait en usage contre des accusés non encore convaincus, le supplice horrible de la question, bientôt il renouvellerait les rigueurs de la Saint-Barthélemy, que des écrivains éhontés ont déjà la hardiesse d’appeler aujourd’hui salutaires, bientôt à l’exemple de la révocation de l’édit de Nantes, il obtiendrait la révocation de la charte qui autorise la liberté des cultes.
Dans ce volume, son nom est orthographié « Monacho », comme dans le catalogue des livres imprimés de la bibliothèque du roi, mais nous corrigeons en Monaco. […] [NDE] Angelo Carletti, connu sous le nom de Angelus de Clavasio (1411-1495) est l’auteur du Summa angelica de casibus conscientiae.
Ce Répertoire général est divisé par colonnes, avec ces titres : l. noms des Personnages de la Pièce, 2. qualité des rôles, 3. noms des Acteurs qui doivent les représenter, 4. noms des Acteurs qui les doivent représenter en cas de nécessité. […] Avec mon Répertoire un Directeur peut, sans être au fait du Théâtre, décider à coup sûr sans le secours d’aucun Conseiller, puisque le devoir de chaque sujet s’y trouve prescrit, et que non seulement le nom du rôle qu’on doit jouer est indiqué, mais encore le nombre de vers que ce rôle contient est spécifié pour mettre le Directeur en état de juger du temps qu’on doit donner à l’étude, pour qu’on n’ait pas lieu d’alléguer mal à propos la longueur du rôle. […] Je ne vois point dans les efforts que font des gens sages et modérés pour éclairer le Trône et le Ministère sur les abus que des fanatiques ou des hypocrites font de la Religion, sur les exactions de certains Préposés subalternes du Gouvernement, la frénésie de ces esprits réformateurs qui voudraient être les Auteurs du trouble pour que leur nom passe à la postérité, dût-on les comparer aux Erostrates.
Les uns adorateurs passionnés du Theatre fortifioient leur opinion d’une foule de preuves, d’un grand nombre d’exemples, de l’autorité même de plusieurs noms respectés. […] il faut nous en déguiser tout, jusqu’au nom. […] Après tout, direz-vous encore, pourquoi le seul nom de Théatre est-il flétri par ceux qui se chargent de peser & de rectifier les mœurs ? […] Ils ne penserent pas que le nom de Poëte fût un titre stérile dans une Republique : ils sentoient trop la fertilité du genre de Poësie dont ils faisoient profession. […] Il vouloit qu’elle déchirât les plus grands personnages d’Athenes sous leur nom veritable, ou mal déguisé.
Quoique toute Poësie soit une imitation, nous donnons particuliérement le nom d’Imitative à la Dramatique, parce que le Poëte cessant de nous parler ou de raconter, disparoît & met à sa place des Personnages qui parlent & qui agissent.
Mon fils, soutiens ton nom.
Elle porte le nom et l’approbation d’un des plus Saints et des plus éclairés Prélats de France que le Pape vient d’élever à la Pourpre par la seule considération de ses mérites.
Pierre Lombard, évêque de Paris, a laissé, sous le nom de Sentences, un corps de théologie, que les bacheliers devaient autrefois commenter avant d’arriver aux grades supérieurs.