Vu la Requête et l’approbation des Sieurs Mauduison et Aleaume Docteurs de Sorbonne en la Faculté de Paris, et Chanoines de l’Eglise d’Orléans, ouï le Procureur du Roi, et ce consentant, Nous avons permis à la veuve Paris et à Jacob son gendre, d’imprimer, vendre et débiter le Livre mentionné en ladite Requête.
Permettez que j’oppose au jugement singulier que vous avez porté de ce livre, l’accueil brillant que ce même livre a reçu universellement depuis son origine jusqu’à présent. […] Il paroît qu’en parcourant le Livre de M. […] J’ai vu la maison du Seigneur, les Livres de la Loi, les cérémonies du sacre des Rois de Juda. […] Enfin, en 1662, on fit imprimer à Toulouse un Livre que S. […] Se peut-il qu’un Livre à la fois si sublime & si simple, soit l’ouvrage des hommes ?
[NDE] Ce texte est publié par Joseph Voisin, La Défense du traitté de Monseigneur le Prince de Conti touchant la comédie et les spectacles, ou la Réfutation d’un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres, Paris, Louis Billaine, 1671, p. 471-482.
Quel pénitent, dites-vous, qui fait des Livres de lui-même, au lieu que M. le Maistre n’a jamais osé faire que des Traductionsn. Mais, Messieurs, il n’est pas que M. le Maistre n’ait fait des Préfaces, et vos Préfaces sont fort souvent de fort gros Livres. […] [NDE] D’après Thirouin, on hésite à identifier en cette personne Mme de Longueville, ou, après Sainte-Beuve, Mme de Sablé (Port-Royal, Livre III, c. 15 ; voir l’édition de Raymond Picard dans la Bibliothèque de la Pléiade, t.
A Monsieur M.R.D.D.A.A Ce n’est point à un Grand que je dédie mon Livre.
Barbin, 1694, Livre XII, Fable XX « Le Philosophe Scythe », p. 92, v. 16.
Livre des Etymologies Chap. 17.
Collier, s’était depuis converti à la Foi catholique ; qu’il fit une sincère pénitence de ses Poèmes licencieux, et que pour satisfaire en quelque sorte à Dieu, à la Religion et au bon exemple, il traduisit en sa langue quelques-uns de nos meilleurs Livres de piété.