Violento apprend que sa sœur est avec une dame françoise ; il veut voir la françoise qui paroît voilée, ce qui n’empêche pas Violento de concevoir pour elle une grande passion ; elle se retire néanmoins avec l’Olive, qu’elle nomme Finette ; au dernier acte, l’Olive, dans ses vrais habits, vient jouer des airs de mandoline, sous les fenêtres d’Inès, signal convenu pour qu’elle sorte en habit d’homme et soit enlevée.
ces retours sentent le village d’une lieue ; je connais beaucoup de grandes dames qui ont commencé comme Clari, mais qui se gardent bien de finir comme elle. » Le pas est fait, ma mère est pauvre ; si elle veut être raisonnable et prendre bien la chose, j’aurai soin de sa vieillesse, autrement….
Ces deux préceptes ne sont-ils pas violés, quand un Abbé, pour donner du divertissement aux Dames, met par an quarante ou cinquante louis d’or à la Comédie, dans un temps où les pauvres meurent de faim et de misère. […] Les Dames ne trouvaient guère ces Pièces à leur goût : elles ne s’y assemblaient point avec cet air gallant et si peu modeste où on les voit à la Comédie aujourd’hui.
Nous parlons ailleurs de cette Dame, que nous apprécions ce qu’elle vaut, ainsi que tous ses ouvrages qu’on a donnés au public.
Dans ce ballet on vit les Princesses & les Dames de la Cour danser avec les Princes & les Seigneurs, comme dans un bal.
Ce n’était dans le temps que l’habillement ordinaire, mais plus modeste, tel que l’a toujours été celui des personnes pieuses, et que le sont ceux des Communautés nouvelles des Miramiones, Dames de la Foi, de l’union Chrétienne, de la Croix, de la Providence, des Sœurs grises, peu différents des autres.
Tous les Journaux en ont fait mention, quelques-uns en le critiquant, la plupart avec de grands éloges, entre autres le Journal des Dames, ouvrage singulier, qui quoique d'une femme, et répétant à chaque page le mot d’honnête, est aussi licencieux que frivole, et ne peut que gâter l'esprit et le cœur de ses lectrices.
Des Dames du premier ordre agiteront la question.