/ 312
254. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114

Qu’on exagére beaucoup ses désordres : 2°.

255. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VI. Euphemie. » pp. 129-148

Il la soulève avec violence, son voile est en désordre, lorsque heureusement enfin arrivent des gens qui les arrêtent.

256. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286

Père ; l’Eglise était remplie d’une foule de grands Seigneurs & de Peuples, qu’attirait autant la curiosité que la dévotion : l’on ne s’attendait guères que le trouble & le désordre dussent naître tout-à-coup dans un lieu si respectable.

257. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127

Dans la satire qu'il fit des habitants d'Antioche, il se moque, comme du plus grand ridicule et du plus grand désordre, de leur fureur pour le théâtre, il lance les mêmes traits contre les Empereurs ses prédécesseurs qui l'avaient aimé.

258. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76

Lactance dans l’Abrégé qu’il a fait de ses Institutions, dit qu’un des effets funestes de ces Chansons, est de laisser dans le cœur une très grande disposition au crime et au libertinage ; en sorte que ceux qui les aiment et qui en font leur divertissement, se laissent facilement engager dans le désordre et dans l’impiété.

259. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71

L’état religieux n’est qu’un brigandage, & le Prince souffre cet affreux désordre dans tout son royaume, où il en est des milliers ; les parens sont des scélérats qui abusent de leur autorité pour immoler leurs enfans. […] Trouve-t-on quelque goût à augmenter le désordre de la passion par une idée d’inceste, comme le fameux & licentieux conte & comédie d’Annette & Lubin, qu’on fait cousins germains, sans nécessité, & que jamais ni églogue, ni roman, ni drame pastoral, n’avoit imaginé, pour avoir occasion de blâmer la loi qui défend ces mariages, & de donner du ridicule aux dispenses que l’Eglise en accorde.

260. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153

Rien de plus juste & de plus tranquille que cette fête qui se fait sans interruption depuis plus de deux siecles, & n’a jamais causé le moindre désordre. […] Ils en firent un fort, & de là commettoient les plus grands désordres.

261. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Charles IV & Charles V. » pp. 38-59

Tel fut le commencement de ses inombrables désordres qui, jusqu’à l’âge de soixante ans où il se convertit par un coup extraordinaire de la grace, marquoient tous ses pas par des péchés & des malheurs.

/ 312