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486. (1722) Chocquet, Louis [article du Supplément au Dictionnaire Historique et Critique] « article » pp. 42-44

Je raporte toutes ces petites particularitez, parce qu’elles peuvent servir à faire conoitre quelques circonstances de la Comédie de ce siecle là. Quelques-unes de ces circonstances ne sont point dans le Moreri Dans l’Edition de Paris, 1699., au Mot Comédie. […] Dans l’Edition de Paris, 1699., au Mot Comédie.

487. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « APPROBATION »

APPROBATION N ous soussignés Docteurs de la Maison & Société de Sorbonne, avons lû le présent Ecrit sur la Comédie, dans lequel nous n’avons rien trouvé que de conforme à la foi de l’Eglise & aux régles de la Morale Chrétienne.

488. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XI.  » p. 466

Les Comédies et les Romans n'excitent pas seulement les passions, mais elles enseignent aussi le langage des passions, c'est-à-dire l'art de les exprimer et de les faire paraître d'une manière agréable et ingénieuse, ce qui n'est pas un petit mal.

489. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « TABLE. DES CHAPITRES. »

Le Clergé peut-il aller à la Comédie, page 9 Chap.

490. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Table des chapitres. »

Convient-il que les Magistrats aillent à la Comédie, page 7 Chap.

491. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XV.  » p. 470

Les affections même communes ne sont pas propres pour donner le plaisir qu'on recherche dans les Comédies, et il n'y aurait rien de plus froid qu'un mariage chrétien dégagé de passion de part et d'autre.

492. (1675) Traité de la comédie « XV.  » p. 296

Les affections communes ne sont pas même propres pour donner le plaisir qu'on recherche dans les Comédies; et il n'y aurait rien de plus froid qu'un mariage chrétien dégagé de passion de part et d'autre.

493. (1675) Traité de la comédie « XVI.  »

Le but même de la Comédie engage les Poètes à ne représenter que des passions vicieuses.

494. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XVI.  »

Le but même de la Comédie engage les Poètes à ne représenter que des passions vicieuses : car la fin qu' ils se proposent est de plaire aux spectateurs, et ils ne le sauraient faire qu'en mettant dans la bouche de leurs acteurs des paroles et des sentiments conformes à ceux des personnes qu'ils font parler, et à ceux des personnes devant qui ils parlent.

495. (1675) Traité de la comédie « XI.  » p. 290

Les Comédies et les Romans n'excitent pas seulement les passions, mais elles enseignent aussi le langage des passions; c'est-à-dire l'art de s'en exprimer et de les faire paraître d'une manière agréable et ingénieuse, ce qui n'est pas un petit mal.

496. (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82

En un mot, parcourez toutes les Comédies de Moliere, vous verrez partout le ridicule émaner du vice, qui est son unique source. […] Je ne m’arrêterai pas à réfuter vos observations critiques sur la conduite de cette Comédie : c’est un objet étranger à notre question. […] Le but de la Comédie est de corriger les hommes ; & les honnêtes gens sont dignes de ses plus grands efforts. […] Je conviens que si toutes les Comédies ressembloient au Légataire, on n’en pourroit pas recueillir tout le fruit dont la Comédie est susceptible. […] On quitte & l’on reprend ses occupations, sans que la Comédie ait produit d’autre mal, que de remplir un intervalle de tems destiné à se récréer.

497. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXIII.  »

Ainsi le besoin que l'on a de se délasser quelquefois, ne peut pas excuser ceux qui prennent la Comédie pour divertissement; puisqu'elle imprime, comme nous avons dit, des qualités venimeuses dans l'esprit, qu'elle excite les passions, et dérègle toute l'âme.

498. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXXII.  » p. 492

Si le Chrétien se considère comme pécheur, il doit reconnaître qu'il n'y a rien de plus contraire à cet état qui l'oblige à la pénitence, aux larmes, et à la fuite des plaisirs inutiles, que la recherche d'un divertissement aussi vain et aussi dangereux que la Comédie: et s'il se considère comme enfant de Dieu, comme membre de Jésus-Christ, illuminé par sa vérité, enrichi de ses grâces, nourri de son corps, héritier de son royaume; il doit juger qu'il n'y a rien de plus indigne d'une si haute qualité, que de prendre part à ces folles joies des enfants du siècle.

499. (1675) Traité de la comédie « XXIII.  » p. 311

Ainsi le besoin que l'on a de se délasser quelquefois, ne peut pas excuser ceux qui prennent la Comédie pour un divertissement, puisqu'elle imprime, comme nous avons déjà dit, de mauvaises qualités dans l'esprit, qu'elle excite les passions, et dérègle toute l'âme.

500. (1675) Traité de la comédie « XXXII.  » p. 327

Si le Chrétien se considère comme pécheur, il doit reconnaître qu'il n'y a rien de plus contraire à cet état qui l'oblige à la pénitence, aux larmes et à la fuite des plaisirs inutiles, que la recherche d'un divertissement aussi vain, et aussi dangereux que la Comédie.

501. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Extrait du Privilège du Roi. »

Signé Dugono : Il est permis à M*** de faire imprimer la Réponse à la Lettre d’un Théologien défenseur de la Comédie, pendant le temps de huit années ; avec défenses à tous autres de contrefaire ladite Réponse, à peine d’amende, confiscation des Exemplaires, et autres peines portées par ledit Privilège.

502. (1846) Histoire pittoresque des passions « RELIGION » pp. 158-163

bref, je ne sais que penser. » Telle était la situation du théâtre, lorsque vers le milieu du seizième siècle la comédie profane intervint avec ses obscénités, et rivalisa avec la religieuse jusqu’au siècle de Louis XIV, où les Corneille et les Racine commencèrent à illustrer notre scène, et lui donnèrent un caractère de décence et de moralité. […] Le clergé, oubliant tout ce que saint Augustin avait dit en faveur de la comédie et de la tragédie, surtout au liv.

503. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE II. Melanie. » pp. 29-71

Un Curé ne doit pas même être spectateur, & en effet on n’en voit point à la comédie. […] C’est être téméraire par exemple, d’aller à la Comédie, de se répandre dans le monde, de composer des Héroïdes licentieuses. […] Telles ces comédies où par préférence on donne la femme mariée pour maîtresse, comme si l’idée d’adultère étoit un assaisonnement du péché. […] Par cette seule raison la moitié de nos comédies doivent être proscrites ; elles le seroient à la Chine, où l’autorité paternelle est plus respectée. […] L’entrée en religion ne peut donc jamais être matiere de comédie.

504. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVI.  » p. 485

Dieu pardonne aisément les distractions qui naissent de la fragilité de la nature, mais il ne fait pas le même de celles qui sont volontaires dans leur source, telles que sont celles que la Comédie produit.

505. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XIX. Prétexte frivole du délassement. »

Mais de-là faut-il conclure, que la Comédie, qui est un amusement criminel, est permise ?

506. (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « [FRONTISPICE] »

.), ainsi que l’édition Thirouin pour les notes (Nicole, Traité de la Comédie, éd.

507. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXIX.  » p. 490

Quel jugement auraient-ils donc fait de ceux qui, étant encore faibles ne font pas néanmoins difficulté d'aller à la Comédie, qui dissipe plus l'esprit que les plus grandes occupations, et ne peut être excusée, ni par la charité, ni par le zèle, puisqu'on n'y recherche que le plaisir ?

508. (1675) Traité de la comédie « XXVI.  » p. 317

Dieu pardonne aisément les distractions qui naissent de la fragilité de la nature, mais il ne fait pas le même de celles qui sont volontaires dans leur source, telles que sont celles que la Comédie produit.

509. (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38

Le célébré Louis-Antoine Muratori, Bibliothécaire du Duc de Modène9, s’emporte fort contre les Comédies et les Opéra d’aujourd’hui. […] Lebrun cité par l’Auteur de l’Essai sur la Comédie moderne, assure le même fait d’après l’Auteur de la Vie de Saint Charles. […] [NDA] L’Auteur de l’Essai sur la Comédie moderne, pour répondre à M. […] Il renvoie à un Ouvrage sur la Comédie, imprimé à Orléans en 1697, et depuis vers le commencement du siècle, où les extraits de ces deux Requêtes et les réponses se trouvent.

510. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — II.  »

Or le principal frein qui sert à l'arrêter est une certaine horreur que la coutume et la bonne éducation en impriment ; et rien ne diminue davantage cette horreur que la Comédie; parce que cette passion y paraît avec honneur et d'une manière qui, au lieu de la rendre horrible est capable au contraire de la rendre aimable.

511. (1675) Traité de la comédie « III.  » p. 277

Or ce qui y sert le plus est une certaine horreur que la coutume et la bonne éducation en impriment ; et rien ne diminue davantage cette horreur que la Comédie, parce que cette passion y paraît avec honneur et d'une manière qui, au lieu de la rendre horrible, est capable au contraire de la faire aimer.

512. (1675) Traité de la comédie « XXIX.  » p. 323

 » Quel jugement aurait-il donc fait de ceux qui, étant encore faibles, ne font pas néanmoins difficulté d'aller à la Comédie, qui dissipe plus l'esprit que les plus grandes occupations, et ne peut être excusée, ni par la charité, ni par le zèle, puisqu'on n'y recherche que le plaisir ?

513. (1665) Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre « [FRONTISPICE] »

Ce pamphlet provoquera deux réponses anonymes : Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière et Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre, toutes deux parues chez Gabriel Quinet, la même année (mais sans achevé d’imprimer).

514. (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162

D’ailleurs ce serait donner un grand avantage aux libertins, qui pourraient tourner en ridicule, à la Comédie, les mêmes choses qu’ils reçoivent dans les Temples avec une apparente soumission, et par le respect du lieu où elles sont dites, et par la révérence des personnes qui les disentc Mais posons que nos Docteurs abandonnent toutes les matières saintes à la liberté du Théâtre, faisons en sorte que les moins dévots les écoutent avec toute la docilité que peuvent avoir les personnes les plus soumises : il est certain que de la doctrine la plus sainte, des actions les plus Chrétiennes, et des vérités les plus utiles, on fera les Tragédies du monde qui plairont le moins. […] Et à parler sainement, le Passage de la Mer rouge, si miraculeux ; le Soleil arrêté dans sa course, à la prière de Josué ; les armées défaites par Samson avec une Mâchoire d’Âne, toutes ces merveilles, dis-je, ne seraient pas crues à la Comédie, parce qu’on y ajoute foi dans la Bible : mais on en douterait bientôt dans la Bible, parce qu’on n’en croirait rien à la Comédie.

515. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Avis au lecteur. » p. 

Voilà ce dont j’ai souvent été le témoin, & ce qui m’engage à vous faire part de mes deux Lettres sur la Comédie.

516. (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « [EN-TETE] »

IV, p. 193-204), et, pour les notes, à l’édition Thirouin (Nicole, Traité de la Comédie, éd.

517. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVII. Que les femmes ne montaient pas sur l’ancien théâtre. » p. 65

une des raisons de condamner le théâtre en général ; parce que, la coutume régulièrement ne permettant pas d’y produire les femmes, leurs personnages étaient représentés par des hommes, qui devaient par conséquent, non seulement prendre l’habit et la figure, mais encore exprimer les cris, les emportements, et les faiblesses de ce sexe : ce que ce philosophe trouvait si indigne, qu’il ne lui eût fallu que cette raison pour condamner la comédie.

518. (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « [EN-TETE] »

.), ainsi que l’édition Thirouin pour les notes (Nicole, Traité de la Comédie, éd.

519. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « Approbation des Docteurs »

Approbation des Docteurs Le but que s’est propose l’Auteur du Livre qui porte pour titre, Histoire et Abrégé des Ouvrages Latin, Italien et Français, qui ont paru dans ce Siècle, pour et contre la Comédie et l’Opéra, est de détruire les raisons de ceux qui croient ces Spectacles permis, et d’appuyer celles de ceux qui les condamnent ; ce qu’il fait par des réflexions solides tirées de l’Ecriture des Pères, et de la conduite de l’Eglise dans tous les temps.

520. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — IV.  » p. 458

Or en excitant par les Comédies cette passion, on n'imprime pas en même temps l'amour de ce qui la règle: les spectateurs ne reçoivent l'impression que de la passion, et peu ou point de la règle de la passion: l'auteur l'arrête où il veut dans ses personnages par un trait de plume ; mais il ne l'arrête pas de même dans ceux en qui il l'excite.

521. (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Extrait du privilège du Roi. »

Signé, par le Roi en son Conseil, Boucher : Il est permis au Sieur L * * p * * * * de faire imprimer, vendre et débiter un Livre intitulé, Réfutation des Sentiments relâchés d’un nouveau Théologien touchant la Comédie, avec une Décision de Sorbonne sur la même matière, par tel Imprimeur ou Libraire qu’il voudra choisir, tout ensemble ou séparément et en tel volume, marge et caractères, qu’il jugera à propos : et ce pendant l’espace de Six Années.

522. (1844) Théologie morale « CHAPITRE I. Des Péchés de luxure non consommée, sections 644-651. » pp. 291-296

Ceux qui composent ou qui représentent des pièces de théâtre vraiment obscènes, comme certaines comédies ou tragédies où l’on ne respecte ni la vertu ni la sainteté du mariage, pèchent mortellement3. […] [NDA] Dictionnaire des cas de conscience, au mot Comédie.

523. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « FRAGMENT D’UNE LETTRE A ME. DE ****. SUR LES SPECTACLES. » pp. 82-92

Cependant je ne puis la regarder que comme une Poésie Pastorale, que comme un Poème vraiment digne de notre Opéra, où l’on n’observe d’autres lois que celle d’amollir notre cœur : mais je la trouve absolument déplacée au Théâtre de la Comédie, qui doit être considéré comme l’Académie de nos mœurs. […] Qualité héroïque, il est vrai, pour des Bergers, mais non pour des hommes qui doivent un jour défendre la patrie, ou gouverner l’Etat, et qui tous viennent déterminer leurs penchants dans les préceptes de la Comédie.

524. (1758) Lettre de J. J. Rousseau à M. D’Alembert « PRÉFACE » pp. -

En lisant ce passage isolé, plus d’un lecteur sera surpris du zèle qui l’a pu dicter : en le lisant dans son article, on trouvera que la Comédie qui n’est pas à Genève et qui pourrait y être, tient la huitième partie de la place qu’occupent les choses qui y sont. « On ne souffre point de Comédie à Genève : ce n’est pas qu’on y désapprouve les spectacles en eux-mêmes ; mais on craint, dit-on, le goût de parure, de dissipation et de libertinage que les troupes de Comédiens répandent parmi la jeunesse.

525. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200

Ses livres sont pleins de traits contre la comédie. […] Tertullien, qui combat tous les spectacles, les réduit à quatre ; le cirque, où l'on faisait des courses de chevaux et de chars ; le théatre, où l'on représentait des tragédies, des comédies, des farces, avec des chants, des danses, des décorations magnifiques ; le stade, où se faisaient les exercices du corps, la lutte, le pugilat, etc. l’amphithéatre, où se donnaient les combats des gladiateurs et des bêtes féroces. […] De deux objets qui le partagent, la tragédie, impie et cruelle, ne présente que des forfaits ; la comédie, lascive et prodigue, n'offre que des impuretés. […] Lorsque dans l'exorcisme on reprochait à l'esprit immonde d'avoir osé attaquer une Chrétienne, j'en ai le droit, répondit-il, je l'ai trouvée chez moi : « Justissime feci, in meo eam inveni. » Une autre femme vit en songe un suaire, et s'entendit reprocher le nom de l'Acteur qu'elle était allé voir jouer la nuit même qui suivit la comédie. […] Est-il à propos que les jeunes gens aillent à la Comédie ?

526. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « PREFACE. » pp. -

Je ne suis ennemi déclaré, ni de la Comédie, ni des Comédiens.

527. (1675) Traité de la comédie « V.  » p. 279

Or en excitant cette passion par les Comédies, on n'imprime pas en même temps l'amour de ce qui la règle.

528. (1675) Traité de la comédie « XXXV.  » p. 331

 » Si nous sommes donc obligés, en qualité de Chrétiens, de demander à Dieu qu'il nous ôte les yeux pour toutes les folies du monde, dont la Comédie est comme l'abrégé, et qu'il nous en imprime la haine et l'aversion dans le cœur: comment pourrons-nous croire que nous puissions repaître nos yeux de ces vains spectacles, et mettre notre contentement en ce qui doit être l'objet de notre aversion et de notre horreur ?

529. (1675) Traité de la comédie « XIII.  » p. 293

Cependant si l'on considère les Comédies de ceux qui ont le plus affecté cette honnêteté apparente, on trouvera qu'ils n'ont évité de représenter des objets entièrement déshonnêtes, que pour en peindre d'autres aussi criminels, et qui ne sont guère moins contagieux.

530. (1715) La critique du théâtre anglais « LISTE DES NOMS. des Comédies et des Personnages, traduits de l’Anglais en Français. » pp. -

LISTE DES NOMS des Comédies et des Personnages, traduits de l’Anglais en Français.

531. (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre »

On ne parle jamais de Dieu au bal ni à la comédie ; et si, aux festins et aux collations, on parle de Dieu ou des choses divines, de la dévotion ou des personnes dévotes, ce n’est ordinairement que pour se railler et faire des contes à plaisir.

532. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XIII.  » p. 468

Cependant si l'on considère les Comédies de ceux qui ont le plus affecté cette honnêteté apparente, on trouvera qu'ils n'ont évité de représenter des objets entièrement déshonnêtes, que pour en prendre d'autres aussi criminels, et qui ne sont guère moins contagieux.

533. (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « AVERTISSEMENT »

AVERTISSEMENT Par la date du Privilège que j’ai obtenu pour l’impression de cette Réfutation, il est aisé de voir qu’elle était prête à paraître, lorsqu’on publia la Lettre écrite à Monseigneur l’Archevêque de Paris, pour désavouer celle d’un Théologien qui favorisait la Comédie.

534. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IX. Sentiments de S. Ambroise. » pp. 200-211

Plusieurs de ces lois regardaient nommément les Magistrats, comme celles qui leur défendaient d’aller à la comédie après dîner, de faire aux Acteurs d’autres largesses que d’une somme modique qui était taxée ; de paraître aux spectacles que deux ou trois fois l’année, le jour de la naissance et du couronnement de l’Empereur ; de transférer pour leur satisfaction les Acteurs, les décorations, les chevaux, d’une ville dans une autre, afin de se donner ce divertissement dans le lieu de leur séjour, etc. Un Législateur de ce caractère est-il partisan de la comédie ? […] Personne ne fut la dupe de ce que l’Auteur de sa vie appelle une comédie : « Hac veluti in scena ficte representari, populus non ignorabat. » On jugeait bien qu’un homme qui toute sa vie avait été un modèle de pureté, ne devenait pas tout à coup impudique, et ne le serait pas dans son épiscopat : Nous prenons sur nous votre péché, et nous ne vous élisons pas moins Evêque, s’écria tout le peuple.

535. (1600) Traité des Jeux comiques et tragiques «  Analyse et sommaire du présent Traité  » p. 63

Arguments pris de la Matière des Comédies et Tragédies.

536. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « La comédie contraire aux Principes de la Morale Chétienne. — XII. Son opposition aux vœux du Batême. » p. 25

Qui oseroit dire que le Théatre n’est point un obstacle à l’accomplissement de ces grands vœux, ne sauroit guéres ce que c’est que la Comédie.

537. (1731) Discours sur la comédie « TABLE DES DISCOURS. » pp. -1

Sur la Lettre du Théologien Défenseur de la Comédie.

538. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE X. » pp. 171-209

Il n’en est ainsi des piéges qui sont si fréquens à la Comédie, c’est une tentation que l’on recherche de gaieté de cœur ; au lieu de fuir le danger, on le suit, parce qu’on l’aime, & que l’on n’appréhende nullement d’y succomber. […] Elles sont versées dans l’art de plaire, & c’est à la Comédie ou bien à l’Opera qu’elles mettent toute leur science en exercice ; tout est étudié dans leurs gestes, dans leur attitude, elles paroissent dans une immodestie qui choque les libertins même : si leur rencontre n’est pas une espéce de scandale qu’on doive éviter, il faut jetter au feu les Ouvrages des SS. […] Les Partisans de la Comédie ont encore un retranchement, Mademoiselle ; ils avouent que cet exercice n’est point fait pour tout le monde, on ne doit le permettre qu’aux esprits bien faits, aux cœurs aguerris, ; mais ils ne voyent pas, dès qu’on les supposent en cette heureuse disposition, qu’on puisse leur en faire un crime : il faut des amusemens dans la vie pour se délasser, sans quoi l’on perdroit les forces & le courage, & c’est là, disent-ils, l’état precisément à quoi les faux zélés voudroient nous réduire, en nous interdisant les Spectacles. […] Quintilien parlant des Comédies d’Aristophane, croit la recréation qu’elles procurent d’un trop grand prix, dès qu’on ne sçauroit les entendre qu’aux dépens de l’intégrité des mœurs.

539. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE VI. De l’Iconomanie théatrale. » pp. 141-158

Ce n’est au reste que pour les images frivoles ou indécentes & dans les livres frivoles, Romans, historiettes, contes, comédies, poésies, &c. qu’on a cette manie puérile. […] A quoi servent ces Arlequins, ces actrices, ces scénes sans nombre dont on a farci les Opéras, le théâtre Italien, celui de la foire, Moliere & toutes ses comédies ? […] Incapable de s’appliquer à rien, de rien approfondir, voltigeant d’image en image, de folie en folie ; on ne cherche qu’à s’amuser, comme si la vie n’étoit qu’une comédie ; l’étude des sciences, la pratique de la vertu n’étoit qu’un jeu. […] des amours, des comédies, des indécences.

540. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217

Toutes les estampes de la comédie Françoise, de l’Opéra, du théatre Italien, qu’on voit à la tête des piéces, donnent des queues traînantes à tous les Grands ; aux Princesses, souvent contre le costume ; car toutes les nations n’en portoient pas : les Juifs par exemple. […] C’est la robe de la tragédie, comme le Cothurne en est la chaussure, & le Brodequin celle de la comédie. Comme la robe a plusieurs couleurs, l’habit d’Arlequin, vestis variegata , est le vêtement de la comédie. […] Le mot d’Arlequin est nouveau, il est venu de la comédie Italienne ; mais ses fonctions & le ridicule de son habit sont très-anciens, & en usage dans toutes les nations, comme le montre Riccoboni, Hist. du Th. […] C’est que dans le monde, où tout n’est que décoration & comédie, on fait un objet important des choses les plus indifférentes, lorsqu’on s’imagine que bien ou mal elles servent la vanité.

541. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre V [IV]. De la Chaussure du Théâtre. » pp. 115-141

& qu’il n’eût été très-convenable dans les tragédies Françoises de distinguer les héros, le Duo de Foix, Fayel, Bayard, le Maire de Calais, & c, & dans les comédies, le Marquis, le Comte, le Baron, par des armoiries, mais l’embarras eût été grand. […] Plaute s’en moque dans ses comédies. […] Le Théatre Grec & Romain avoit deux sortes de chaussure, des brodequins pour la comédie, des cothurnes pour la tragédie. Le brodequin étoit un soulier ordinaire, parce que la comédie ne représentant que des actions bourgeoises, les Acteurs y doivent être habillés & chaussés comme on l’est dans le monde. […] Le Roi des Ogres à la comédie Italienne, Hercule, Polipheme, les Titans, &c.

542. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre V. De ceux qui vont danser avec mauvais dessein. » pp. 26-27

Il est évident que ceux qui vont au Bal, à la Comédie, et aux autres lieux où on danse et où on se divertit avec des désirs déréglés, et avec des dispositions contraires à la Loi de Dieu, se rendent encore coupables de péché mortel : Car si l’intention est criminelle, il faut nécessairement que l’action qui en procède le soit aussi, quelque indifférente qu’elle soit d’elle-même ; comme S.

543. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « [Introduction]  » p. 2

[Introduction] Avoir prouvé que la religion et les lois, les deux puissances ecclésiastique et séculière, proscrivent la comédie, c’est aux yeux d’un Chrétien avoir terminé ce fameux procès ; mais nous avons encore avancé que la politique, aussi bien que la vertu, prononçait la condamnation du théâtre, que funeste au bien public, elle méritait toute l’animadversion d’un sage gouvernement.

544. (1640) L'année chrétienne « Des Recreations, Jeux, et autres di- vertissemens, desquels l’ame Chre- stienne se peut servir durant la journée. Chapitre IX. » p. 851

[NDE] Le passage sur la comédie se trouve aux p. 863-864, dans l’Article second, « La practique que l’Ame Chrestienne doit garder en ses recreations, ieux et autres divertissemens pour en iceux gaigner l’Eternité », p. 861-877 ; § I « Comment il se faut comporter aux récréations pour par icelles gaigner l’Eternité », p. 862-867.

545. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 68-96

La Comédie pouvoit-elle manquer d’y être ; c’est le souverain bien. […] Rien ne lui coûte, un coup de baguette produit un théatre, comme un palais, des acteurs & des actrices, comme des Nimphes, la belle eut le plaisir de voir la comédie dans toute sa perfection. […] Opera, comédie, farce, Italiens, foire : tout y est rassemblé. […] Ils en sont si flâtrés qu’ils ont porté la fanfaronade jusqu’à appeller la Comédie, le spectacle de la Nation. Comme si le Roi & la Nation, à l’exemple des actionnaires des villes de Province, se tussent chargés de donner la comédie au public.

546. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175

Le sieur Dorat, jeune homme infatué, s’il en fut jamais, du Théatre & des Actrices, se peint lui-même, ses maîtresses & la Comédie. […] Les bouffons & la comédie, noble Vadé, Ramponeau, Chaulieu & Anacréon, les Rustres & les Marquis n’y different donc que par une surface de l’élégance ? […] Les quatte petits poëmes sur la Tragédie, la Comédie, le Geste, la Danse (je ne sai pourquoi il a négligé la Musique, qui joue un si grand rôle), poëmes qu’il réunit sous le titre général de Déclamation : titre mal rempli. […] Sulpice, sur l’enterrement d’une actrice de la Comédie Françoise. Les Curés de Saint-Sulpice ont toujours refusé les derniers Sacremens & la Sépulture ecclésiastique aux comédiens, à moins qu’ils ne renoncent authentiquement à la Comédie : Témoin la fameuse Lecouvreur qui fut enterrée dans un fossé.

547. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « EXTRAIT DE QUELQUES PENSEES SAINES. Qui se rencontrent dans le livre de J.J. Rousseau contre le Théâtre, ou condamnation de son système par lui-même. » pp. 66-77

vieillards dans les Tragédies sont représentés comme des tyrans, des usurpateurs : dans les Comédies, des jaloux, des usuriers, des pédants, des pères insupportables que tout le monde conspire à tromper. […] peut douter que l’habitude de voir toujours dans les vieillards des personnages odieux au Théâtre, n’aide à les faire rebuter dans la société, et qu’en s’accoutumant à confondre ceux qu’on voit dans le monde avec les Radoteurs et les Gérontes de la Comédie, on les méprise tous également ?

548. (1658) L’agent de Dieu dans le monde « Des théâtres et des Romans. CHAPITRE XVIIII. » pp. 486-494

C’est ce qui rend les comédies infâmes par les lois, et néanmoins si célèbres, par la coutume qu’elles ont les puissances et les juges de la terre pour auditeurs, qu’elles sont à leur gage et sous leur protection. […] Néanmoins ces relations peuvent être beaucoup plus nuisibles, parce qu’on les lit, qu’on les retâte, qu’on les médite à loisir, le Roman est une comédie perpétuelle, pour les esprits qui aiment cet entretien.

549. (1767) Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs « Essai sur les moyens de rendre la comédie utile aux mœurs — AVERTISSEMENT DE L’AUTEUR. » pp. 3-6

J’ai cru que le public ne seroit pas fâché de voir à la suite de cet ouvrage, un Traité intitulé, Essai sur les moyens de rendre la Comédie utile aux mœurs.

550. (1603) La première atteinte contre ceux qui accusent les comédies « A Monseigneur le duc de Nemours » pp. -

A Monseigneur le duc de Nemours Monsieur, Encore que ce petit discours ne soit digne de la grandeur de votre esprit, j’ai cru que vous me feriez l’honneur de l’accepter, non tant pour vous satisfaire, que pour honorer ma nécessité, qui espère que vous estimerez l’effet pour le mérite de la cause, et un pauvre don d’un riche désir : le mien n’a rien de plus cher que le respect qu’il rend en affection à vos perfections, Monsieur, qui enrichissent le monde, remplissent les âmes d’admiration, l’univers de gloire, et cette grande Princesse (vive image de la vertu de nos antiques Rois) de contentement, voyant plus louer la personne que le Prince, parce qu’il est aussi grand de mérite que de nom, en l’un la pensée manque, en l’autre la voix se perd : Et pour ne perdre cette petite œuvre, j’ai pris la hardiesse de l’appuyer du vôtre, Monsieur, jugeant qu’il n’aura faveur ni lumière que celle qu’il tirera de vous, qui portez en terre les grâces du Ciel où il éclairera ses ténèbres : Et parce qu’en l’entreprise glorieuse la faute est digne de pardon, j’ai cru que vous y serez aussi prompt, Monsieur, comme je vous ai vu libéral aux louanges de l’esprit de la Signore Isabelle, dont les Comédies se peuvent maintenir, puisque vous les avez jugées, Monsieur, un plaisir semblable aux repos des Avettes, où il n’y a souillure, pollution, ni amertume : la crainte que mes paroles en apportent aux douceurs de vos Muses, me fera finir, et en toute l’humilité que je puis, vous baiser les mains, et supplier me permettre la gloire de me qualifier, Monsieur, Votre très humble, très obéissante, et très fidèle servante.

551. (1667) Traité de la comédie et des spectacles « Sentiments des Pères de l'Eglise sur la comédie et les spectacles — 8. SIECLE » pp. 183-184

Ce sont là les Spectacles que l'Eglise donne à ceux qui y vont : Mais quels sont au contraire les Spectacles de ceux qui vont à la Comédie ?

552. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. » pp. 136-137

Par tous ces principes des saints pères, sans examiner le degré de mal qu’il y a dans la comédie, ce qui dépend des circonstances particulières, on voit qu’il la faut ranger parmi les choses les plus dangereuses ; et en particulier on peut juger si les pères ou les saints docteurs qui les ont suivis, et Saint Thomas comme les autres, avec les règles sévères qu’on vient d’entendre de leur bouche, auraient pu souffrir les bouffonneries de nos théâtres, ni qu’un chrétien y fît le ridicule personnage de plaisant.

553. (1823) Instruction sur les spectacles « Introduction. » pp. -

On va même jusqu’à ériger les comédiens en docteurs et les comédies en leçons de morale propres à réformer le vice.

554. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — XXVIII.  » p. 489

Or si ceux qui vont à la Comédie ont encore quelque sentiment de piété, ils ne peuvent désavouer qu'elle n'éteigne et n'amortisse entièrement la dévotion.

555. (1675) Traité de la comédie « XXVIII.  » pp. 321-322

Or si ceux qui vont à la Comédie ont encore quelque sentiment de piété, ils ne peuvent désavouer qu'elle n'éteigne et n'amortisse entièrement la dévotion.

556. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « A Monsieur le Comte de P***. » pp. -

Il était juste de vous dédier un Livre tel que celui-ci, à vous, Monsieur, qui avez enrichi le Théâtre Français de plusieurs Comédies, aussi délicatement écrites qu’elles sont conduites avec art.

557. (1664) Traité contre les danses et les comédies « TABLE DES CHAPITRES du contenu en ce Livre » pp. -

Que les lois civiles défendent de danser, et d’aller à la Comédie les jours des Fêtes. p. 66.

558. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178

On dira peut-être que cette Tragédie (ou Comédie héroïque, ainsi que Corneille l’a nommée) aurait été mieux à sa place dans la classe des Pièces à corriger, ou même à rejetter ; puisqu’elle peut s’appeller le triomphe de la passion d’amour, c’est précisément par cette raison que j’ai voulu l’examiner de près ; et que, toutes réflexions faites, je l’ai mise au nombre de celles que je conserve. […] Quant à ce qui regarde l’instruction, la passion d’amour appartient autant à la Tragédie, à la Tragicomédie, à la Comédie Héroïque, qu’aux autres espèces de Pièces où l’on introduit des gens de qualité, des Bourgeois, des gens du peuple, des paysans, etc. […] J’en ai parlé autre part ; et je prie le Lecteur de trouver bon que je le renvoie à mes Observations sur la Comédie. […] Aujourd’hui on ne pense pas de même ; on ne va au Théâtre que pour se divertir : on rit à la Comédie, et l’on pleure à la Tragédie, sans songer par quel motif le Poète a voulu faire rire ou faire pleurer ; sans examiner, par exemple, si c’est dans l’intention de corriger, ou d’instruire.

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