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328. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

Cette rapsodie n’a ni intrigue ni dénouement, ce n’est qu’une suite de mensonges d’une femme infidelle qui trompe effrontément son mari.

329. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56

Collet, & en fait désirer le suite ?

330. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE I. De l’Amour. » pp. 4-29

Tout l’ouvrage n’est que la peinture & l’éloge de l’amour, une suite de portraits des Actrices présentés dans le jour le plus séduisant, élevées jusqu’au ciel par leurs charmes, immortalisées parce qu’elles savent inspirer la passion ; c’est le sublime, la vraie gloire, le plus beau talent, le plus doux moment de la vie : Qui voit poindre le jour de l’immortalité.

331. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IX. Sentiments de S. Cyprien et de quelques autres Pères. » pp. 175-201

Nous finirons cette suite d’autorités par celle de ce fameux Anglais, Evêque de Chartres, si distingué à la Cour du Comte de Champagne, à celle de Louis le Jeune, et à celle du Pape Adrien VI, son ami.

332. (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132

L’homme a besoin de divertissement pour ne pas succomber dans les occupations sérieuses auxquelles il est engagé par son état, et pour être dans la disposition de les reprendre dans la suite. […] L’on voit tant par la fin que se propose Saint Thomas, que par les paroles qu’il rapporte de Saint Chrysostome, qu’il parle de la Comédie dans la pratique et comme elle se représentait de son temps ; l’on montrera encore ceci davantage, lorsque dans la suite on parlera de Saint Louis qui chassa les Comédiens de son Royaume, du vivant duquel était Saint Thomas.

333. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Nous aurions lieu d’examiner dans la suite quand et comment l’amour est intéressant sur la scène, et pourquoi il y est protégé. […] Rousseau, qui a vu assidument six ans de suite ce Spectacle, devrait se rappeler ces faits. […] Les Mœurs de la Comédie lui semblent encore plus dangereuses, en ce qu’elles ont avec les nôtres un rapport plus immédiat. « Tout en est mauvais et pernicieux, tout tire à conséquence pour les Spectateurs ; et le plaisir même du comique étant fondé sur un vice du cœur humain, c’est une suite de ce principe, que plus la Comédie est agréable et parfaite, plus son effet est funeste aux Mœurs.

334. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71

Votre Paysan parvenu par des intrigues galantes aura beau prêcher la modestie qu’il n’a pas pratiquée, & exagérer les suites funestes de l’amour, il trouvera plus de gens disposés à copier ses intrigues, que de ceux qui viendront profiter de ses leçons.

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