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34. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TRAITÉ. DE LA POËSIE. DRAMATIQUE. ANCIENNE ET MODERNE. Plan de ce Traité. » pp. 5-7

Le Poëte François dont j’ai examiné les Ouvrages, ayant eu le bonheur de plaire à sa Nation, en suivant dans ses Tragédies, comme dans sa Comédie, les traces des Poëtes Grecs dont il s’étoit nourri dès sa jeunesse ; son succès doit inspirer à ceux qui ne connoissent point le Théâtre Grec, la curiosité de savoir si c’est chez les Grecs qu’il faut nécessairement chercher les vrais Principes de la Poësie Dramatique, & si ces mêmes Principes ont été également suivis par les autres Nations qui ont aimé & cultivé le même genre de Poësie.

35. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137

L’Auteur & l’Actrice se ressemblent encore par leur travail & leur succès. […] La plus haute fortune dépendoit de leurs succès sur le cœur d’Assuérus. […] L’Ecriture se borne à louer son courage, sa confiance en Dieu, ses brillans succès, sans s’expliquer sur les moyens qu’elle mit en œuvre pour les ménager. […] Et comment une femme qui a vu applaudie, admirée la parure de l’Actrice, ne s’empressera pas de l’imiter, dans l’espérance du même succès ? […] on a eu bien des maris en désir ; quand on en cherche avec tant d’ardeur on en aura bien d’autres Réussît-on par ces moyens honteux, quel triste succès !

36. (1705) Sermon contre la comédie et le bal « introduction » pp. 175-177

Quelque bonne et indubitable que soit la cause que je défends, je ne le puis faire avec succès, si le Saint Esprit ne vous fait sentir la force de mes raisons qui sont les siennes.

37. (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30

Le goût se perd, et tel qui pouvait prétendre à siéger un jour parmi les classiques de notre littérature, ne sera jamais qu’un histrion-spéculateur, sacrifiant sa gloire à des rétributions, et donnant, au moins une fois par mois, la preuve qu’en fait d’ouvrages mis au théâtre, la quantité l’emporte sur la qualité ; le plus mince vaudevilliste, qui compte quatre succès, n’a pas d’autre système. […] Faites des perruques, écrivait Voltaire à maître André ; faites des vaudevilles, dira-t-on aux beaux esprits du siècle ; associez-vous un homme adroit à se faire jouer, intéressez un directeur dans vos bénéfices, vos succès ne seront pas douteux. […] [NDA] Ouvrage dont le succès peut être regardé comme le fondement de la fortune de ce théâtre. […] [NDA] Ouvrage dont le succès peut être regardé comme le fondement de la fortune de ce théâtre. […] [NDA] Ouvrage dont le succès peut être regardé comme le fondement de la fortune de ce théâtre.

38. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De la Musique Française & Italienne. » pp. 252-286

Je n’ôse affirmer que nous jouissions déjà de nos succès. […] Il est singulier qu’un Italien ait mis avec beaucoup de succès plusieurs de nos Drames en musique, & que des Français s’éfforcent ensuite de soutenir que leur Langue n’est susceptible d’aucune harmonie ; ils veulent encore qu’il n’y ait que la musique Italienne de passable, sans considérer que c’est directement des Italiens qu’ils tirent la leur. […] Il est si vrai que nous pouvons composer de la musique purement dans le goût Italien, sitôt que nous voulons nous y appliquer, qu’un Français, dont les talens sont très-connus, vient de mettre en musique un Opéra Italien, représenté à Londres avec le plus grand succès. […] Nos rivaux pourront-ils nous pardonner d’avoir un mérite égal au leur ; & pourrons-nous oublier qu’ils nous ravissent la moitié de nos succès ?

39. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121

Aussi malgré ses savantes décisions, les piéces qu’il a reçues sont souvent l’objet du mépris public, & celles qu’il a le plus vantées, ont eu le moins de succès. […] Il est sorti peu de Poëmes de la plume de nos Auteurs, dont ils n’ayent espéré un grand succès.

40. (1825) Des Comédiens et du Clergé « article » pp. 60-68

Isolés dans les premiers temps, ces pèlerins reconnurent qu’ils pouvaient avoir beaucoup plus de succès en réunissant leurs efforts et en se distribuant les divers personnages qui figuraient dans leurs complaintes : de là, les Confrères de la Passion, institués par lettres patentes, en 1402, pour représenter à Paris des comédies pieuses. […] [NDE] Claude Barbin, libraire parisien qui a connu le succès au xvii e siècle mais qui est mort ruiné.

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