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43. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195

Le théatre ne cause-t-il pas encore tous les désordres de la société, l’infidélité dans les mariages, les troubles, les querelles des familles ? […] Vous rougiriez d’être de cette société, les loix même payennes ont déclaré les Comédiens infames ; pourquoi donc les estimez-vous, les honorez-vous ? […] C’est donc vous qui en favorisant le théatre, renversez tout l’ordre de la société, non pas moi qui le combats. […] Ils nous faisoient sentir par là qu’il n’est rien de plus cher que la société d’une honnête femme & des enfans bien élevés.

44. (1607) Prologue de La Porte, Comédien

Les assemblées publiques qui se font à notre sujet y répugnent duab tout, vu qu’il n’y a rien, disait Lycurgue, premier et plus grand législateur de son temps, plus propre et nécessaire à la manutention de la paix que la société, occasion qu’il contraignitac ses citoyens de manger tous ensemble le brouet lacédémonien à la manducation duquel l’honnête familiarité et la paisible société suivies des graves discours de ces doctes personnages servait comme d’entremet, de sauce, d’appétitad et de friandise et délicatesse à cette soupe noire, fade et de mauvais goût. […] Boyer « L’ancien théâtre à Bourges », in Mémoires de la société historique, artistique, littéraire et scientifique du Cher, Bourges, 1892, p. 44-52.

45. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — section »

L’aimable société vit Mademoiselle *** : on la chérit, on l’estima, & jamais elle ne cessa de le mériter.

46. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — Extrait des Registres de Parlement, du 22 Avril 1761. » pp. 210-223

Elle nous fait voir , dit-on, que c’est depuis peu seulement que les Ministres de l’Eglise usent envers elle & sa société, d’une autorité arbitaire. […] On annonce qu’elle ne peut manquer de parvenir à établir sa société en titre d’Académie, & que dès l’instant elle ensevelira pour toujours l’ignominie que l’ignorance & une superstitieuse prévention ont élevé contre l’état des Comédiens.

47. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — [Introduction] » pp. 2-7

On prenoit un plaisir singulier à ces spectacles, en les représentant dans les maisons particulieres : il y avoit des diableries de société, comme il y a des théatres de société, & des proverbes infernaux que jouoient les jeune gens.

48. (1825) Encore des comédiens et du clergé « TABLE DES MATIERES. » pp. 229-258

Page 63 Réflexions sur les Congréganistes, considérés comme espions obligés de la société des jésuites non encore reconnue en France. […] Page 66 De l’influence et de la corruption exercées sur les ministres d’Etat, par la société monastico-politique des jésuites ou pères de la foi. […] Page 111 Le principe pernicieux qui consiste à ne point divulguer les actes d’immoralité des prêtres, est inscrit positivement, dans les constitutions de l’infâme société des jésuites. […] Page 156 La société des Jésuites anti-chrétienne se moque également de la religion comme de la morale.

49. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « [Introduction]  » p. 2

Est-il rien de plus important au bonheur de la société que la religion et les lois ?

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