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287. (1639) Instruction chrétienne pp. -132

si tout cela, comme il advient le plus souvent, est composé et disposé pour être rapporté aux passions et dissolutions de l’amour impudique ? […] Nous maintenons que cela est contraire à la Majesté de la Religion, et injurieux au sacré Ministère institué de Dieu pour édifier notre foi : et qu’il n’est loisible de détourner la parole de Dieu de son droit usage, pour la faire servir aux jeux et aux plaisirs des sens : puisqu’en l’Eglise de Dieu, toutes choses doivent être rapportées à la modestie et vraie piété, afin que l’âme soit portée à la Religion, et à la contemplation respectueuse des choses divines. […] A quoi se rapporte ce que Cicéron écrit, que l’ancienne Grèce a sévèrement puni les acteurs de telles fables. […] » Et Lactance61, « Les oreilles et la langue pèchent également. » A quoi se rapporte ce que S.  […] Il y a quelques grandes méchancetés, lesquelles peuvent être nommées, rapportées et reprises, sans intéresserff l’honnêteté de celui qui en fait le récit : comme sont les homicides, les larcins, les adultères, les sacrilèges, et autres semblables.

288. (1647) Traité des théâtres pp. -

Afin de procéder par ordre en notre déduction là-dessus, nous la rapporterons aux chefs suivants, à chacun desquels nous donnerons un chapitre. […] Nous avons ouï que ce sont les Païens à qui les Théâtres rapportent leur Origine, Or y ayant couru avec une manière de forcènerie, si est-ce que les Sages qui étaient entre eux, en ont fort bien reconnu le mal, l’ont improuvéao, et ont tâché d’y remédier. […] Combien que de soi-même tout cela soit libre, vu qu’au fond il est indifférent devant Dieu à quelle heure on s’assemble, ou de quel geste nous accompagnerons la prière, ou si on sera vêtu de telle ou de telle étoffe ; Cependant après que ceux auxquels il a donné la charge d’aviser à cette ordredy, s’étant assemblés, du consentement des troupeaux fidèles, et son nom Saint invoqué, ont fait des règlements là-dessus, lesquels le corps de l’Eglise a ensuite généralement approuvés, les choses ainsi arrêtées, ne demeurent plus comme auparavant entre les simplement libres, mais il y a obligation à tous les fidèles de se tenir à ce qui leur y a été prescrit, de sorte qu’il y faut rapporter l’avertissement de l’Apôtre, « Obéissez à vos Conducteurs, et vous y soumettez, Car ils veillent pour vos âmes, Comme ceux qui en doivent rendre compte »Heb. 13. 17. […] Car il est resserré dedans une double borne, qui est a l’égard du prochain l’édification, et à l’égard de Dieu, de rapporter le tout à sa gloire. […] De vrai encore qu’elle ne spécifie pas une chacune chose en détail, néanmoins elle comprend le tout en substance : ainsi il n’y a aucun règlement Ecclésiastique qui n’y ait son fondement, et ne s’y rapporte.

289. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre III. De la Fable Tragique. » pp. 39-63

Ce prince renvoie en France un esclave, absolument privé de toute ressource, sur la promesse qu’il lui rapportera la rançon de douze Chrétiens, au nombre desquels il met Luzignan.

290. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Première partie « Causes de la décadence du goût sur le théâtre. — Chapitre VI. De la Poésie de style. Si elle fait seule la destinée des Poëmes. » pp. 94-121

Toutes les parties d’un Poëme se rapportent à deux principales ; au fond des choses, & à la maniere de les présenter ; aux idées, & à l’expression.

291. (1762) Lettres historiques et critiques sur les spectacles, adressées à Mlle Clairon « Lettres sur les Spectacles à Mademoiselle Clairon. — LETTRE VIII. » pp. 131-157

Gratien rapporte cette authorité1 dans ses Canons de la penitence.

292. (1698) Théologie du cœur et de l’esprit « Théologie du cœur et de l’esprit » pp. 252-267

& doivent être rapportées à sa gloire ?

293. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre II. Charles XII. » pp. 32-44

Les Demoiselles du Séminaire ou Collége féminin, qui s’est établi à Petersbourg, ont joué le jour de la fête de l’Impératrice, une Comédie françoise, un Opéra comique, qui ont été fort applaudis ; sur quoi le Gazetier d’Avignon, qui le rapporte, 19 juin 1776, ajoute : Ce succès doit engager les Auteurs françois à suivre les modeles du siecle de Louis XIV, & à traiter des sujets qui puissent être entendus & goutés de toutes les Nations.

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