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297. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104

La nation des Acteurs & des Actrices peut-elle se contenir ?

298. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE VI. Suite de la Danse. » pp. 140-167

On ne sait ce que c’est ; ce sont des spectacles monstrueux, où avec une dépense énorme, une magnificence bizarre, sans dessein & sans goût, on mêloit, entassoit, prodiguoit tout ce qu’on pouvoit imaginer de frappant, de galant, de grotesque, le ciel, la terre, les enfers, les dieux, les démons, les fées, les nations, les êtres moraux, les êtres physiques, les astres, les montagnes, les animaux.

299. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95

C’est le Démon qui donne aux Comédiens la mission : Allez, leur dit-il, enseignez le vice à toutes les nations, apprenez-leur à faire ce que je vous enseigne et que je vous fais faire à vous-mêmes ; je vous suggérerai ce que vous aurez à dire, et je serai avec vous jusqu’à la fin des siècles.

300. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160

Leur vrai but, dit-il, leur grand but paraît être uniquement de briller, et de se faire promptement connaître et admirer du public, de se donner en quelque sorte en spectacle à toute une ville, sans se piquer beaucoup du titre de bons citoyens, dont le devoir est de se rendre utiles, et de contribuer au bien commun de la nation. […] En général deux folles passions, capables seules de corrompre toute une nation, lui paraissent être le grand objet de nos Poètes, et en être l’objet bien plus pour les réveiller que pour les éteindre.

301. (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104

Non-seulement elles ne faisaient de mal à personne, mais elles étaient sensibles et bienfaisantes ; elles coulaient en paix et honorablement leurs jours dans la pratique de toutes les vertus sociales ; et, je le répète, elles exerçaient la plus grande et la plus salutaire influence sur les mœurs de la capitale, et même de la nation entière.

302. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35

Dans un autre endroit, cet Ecrivain trop libre dit plus galamment que décemment à une Sauvagesse, dont il étoit amoureux, & qui selon l’usage de la nation étoit sans habit : A l’égard des parures de toute espece, que les Dames Angloises employent pour relever leur beauté, je vous assure qu’il n’y a point d’homme parmi nous qui ne souhaitât qu’elles ne fussent pas plus parées que vous.

303. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre I. Diversités curieuses. » pp. 5-37

Il va faire incessamment ce magnifique cadeau à la nation des philosophes, & à la République des lettres qui vont l’attendre avec impatience, & l’acheter à grand prix.

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