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365. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE I. Réformation de Moliere. » pp. 4-28

Ces coups de maître, si l’on veut, ont leur mérite ; mais Longin ne les mettra pas au rang du sublime.

366. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58

Lahire ne parle-t-il pas trop en Valet, lorsqu’il dit à son Maître, afin de le consoler de ce qu’il épouse une vieille : Beaucoup de jeunes gens envîraient votre sort, Ne trouve pas qui veut des vieilles.

367. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119

Pélegrin, Voltaire, tous les autres Poètes imitent leur maître.

368. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175

quelles cautions de leurs mœurs et de leur religion, que des pécheurs publics, des maîtres publics du vice, qu’elle ne met point au nombre de ses membres, à qui elle ne peut accorder les choses saintes sans les profaner !

369. (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84

Arlequin Sauvage (piece du Théatre Italien,) quoique sans loix & tout au milieu de ses singeries, pourroit, il est vrai, si nous le prenions pour maître, supprimer parmi nous bien des abus qui sont autant d’écarts de raison, de décence & d’amour de la Société ; mais de bonne foi, de quoi peuvent nous corriger tous ces vrais fous qui, loin de vouloir établir une seule vérité morale, ont formé une sorte de ligue pour déprimer, (p. 10.) […] Quelle seroit ma surprise si pour avoir ramassé ces miettes tombées de la table de mes maîtres, j’avois le malheur de paroître coupable à leurs yeux !

370. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

Nos jolis hommes, nos femmes coquettes & nos petits maîtres ont le vermillon sur les joues & le mensonge sur la langue.

371. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132

Souffrirons-nous tranquillement que notre bon Maître soit méprisé, moqué, couvert d’ignominie, par les crimes & les dissolutions qui vont se commettre dans les assemblées où regne le désordre & la licence ?

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