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282. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114

Le théatre de Regnard & presque tous les théatres comiques méritent le même reproche.

283. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137

Mais depuis Constantin, sans même excepter le regne fort court de Julien l’Apostat, tout ce qui est monté sur le trône des Césars n’a plus mérité de pareils reproches, tout au contraire a employé son autorité avec zèle, jusqu’aux Princes Wisigots, pour purger les spectacles.

284. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58

J’avouerai de bonne foi que si la Comédie récitée ressemblait à l’Opéra Bouffon, & à la Comédie-mêlée-d’Ariettes, elle ne serait pas tout-à-fait si digne de louanges, & qu’elle mériterait un peu les Anathèmes lancés contre-elle.

285. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54

C’est pour avoir commis ce péché, dit-il, que nos pères ont mérité les châtiments qui sont tombés sur nous et sur cette ville.

286. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74

Personne n’a daigné prendre la peine de les faire passer à la postérité, et nous sommes bien éloignés de vouloir les tirer de l’oubli où ils sont et qu’ils méritent.

287. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VIII. De l’excommunication des Comédiens. » pp. 176-199

Cette cause fut plaidée avec plus de solennité qu’elle ne méritait ; mais qu’importe ?

288. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Autres Anecdotes du Théatre. » pp. 43-70

Linguet crut pouvoir hazarder une nouvelle traduction du théatre Espagnol, il a mérité de réussir, sa traduction est bien faite, & il traite judicieusement plusieurs questions dramatiques ; il y a quelques pieces fort longues, (c’est le goût des Castillans) prises de Lopez de Vega, de Calderon, de Guillaume Castro & de quelques autres moins célebres : Lopez de Vega est comme Hardi parmi nous, qui composa huit cents pieces de théatre, il en a donné plus de deux mille ; on appelle ses œuvres, par une fanfaronnade de Castille, l’Océan Dramatique, & il est impossible qu’un si grand nombre de poëmes soient bons ; mais ils sont meilleurs que ceux de notre Hardi.

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