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52. (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426

Nous lisons les Psaltérions, les Trompettes, les Tambours, les Flûtes, les Harpes, les Fifres. […] Je dirai en cet endroit qu’il vaudrait mieux à ceux-ci, n’avoir aucune connaissance des lettres, que de les lire en cette façon. […] Autre sorte de spectacle, auquel les hommes bataillaient contre les bêtes cruelles, comme lions, taureaux, ours, et autres, lis une fort belle histoire d’un lion et d’un serviteur nommé Androdus Gellius lib. 5. ca. 4. noct. att. […] Autre sorte de spectacle, auquel les hommes bataillaient contre les bêtes cruelles, comme lions, taureaux, ours, et autres, lis une fort belle histoire d’un lion et d’un serviteur nommé Androdus Gellius lib. 5. ca. 4. noct. att.

53. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE II. » pp. 19-41

Del Monaco assure que tous les Auteurs qu’il a lus sur ce sujet sont du sentiment qu’il y a péché mortel pour les Comédiens, parce qu’ils disent des paroles équivoques, et se servent d’expressions tendres ; parce que les femmes jouent avec les hommes sur le Théâtre ; parce qu’on y traite des intrigues d’amour ; parce que quoiqu’on les dise réformées on les rend agréables, et ainsi opposées à la pureté du cœur, commandée aux Chrétiens. […] La troisième est, qu’il n’y a pas plus de mal à voir représenter des Comédies qu’à les lire. 1°. Il est dangereux de les lire, et l’on doit s’en abstenir. 2°. […] Il suffit d’avoir lu l’Evangile, pour être convaincu que la Comédie ne peut pas s’accorder avec les maximes de ce Livre divin. 3°.

54. (1825) Des comédiens et du clergé « Préface. » p. 

Ne préjugez point du titre de cet ouvrage ; lisez-le d’un bout à l’autre, et ouvrez votre âme à la vérité ; la conviction est fille de la raison.

55. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « APPROBATION. » p. 

J’ai lu par ordre de Monseigneur le Chancelier un Manuscrit intitulé, Essai sur la Comédie moderne : et je n’y ai rien trouvé qui puisse en empêcher l’impression.

56. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « Approbation. »

J’ ai lu, par ordre de Monseigneur le Vice-Chancelier, un Manuscrit intitulé : De l’Art du Théâtre en général, &c.

57. (1715) La critique du théâtre anglais « APPROBATION. » p. 

J’ai lu par l’ordre de Monseigneur le Chancelier, La Critique du Théâtre Anglais, et j’ai cru que la lecture n’en serait ni moins utile ni moins agréable en France qu’elle l’a été en Angleterre.

58. (1825) Encore des comédiens et du clergé « AVIS AU LECTEUR. » p. 10

Les personnes qui n’auraient pas le temps de s’exposer à l’ennui de lire en son entier, le présent ouvrage, sont prévenues qu’elles trouveront à la fin des Chapitres, une Table des Matières, qui les dirigera dans le choix des articles qu’elles jugeraient à propos de parcourir.

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