/ 285
259. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137

Ce seroit une erreur de penser que la modestie ne rejette que les grossieretés ; elle exclud jusqu’aux plus légères nuances du vice, sur-tout elle brille par les traits de la pureté la plus délicate, de la pudeur la plus sévère.

260. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Ouvrons l’Encyclopédie, non pour en étudier les erreurs ; mais pour en lire les paradoxes. […] Augustin étoit assurément, un génie rare, un homme des plus célébres ; croyez-vous, Madame, que ceux, qui seroient les organes de ses désordres, dont il a fait pénitence ; de ses écarts, dont il a pleuré pendant le reste de sa vie ; de ses erreurs, qu’il a rétractées ; croyez vous, dis-je, que de tels organes fussent bien utiles, & bien dignes de considération.

261. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE PREMIER. Peinture & Sculpture. » pp. 4-40

C’est une erreur ; l’attrait du vice fait d’aussi pronfondes blessures dans tous les deux.

262. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre premier.  » pp. 2-36

Ribalier approuve une histoire pleine d’erreurs, & que M.

263. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172

On le guérit de cette erreur, il en fut très fâché, comme si on l’avoit assassiné.

264. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183

Les Grecs ouvrirent peut-être les yeux, & connurent enfin leur erreur au sujet d’un Art dont ils arrêtaient les progrès.

265. (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410

La Comédie qui avait été instituée pour corriger les vices des hommes, et pour réformer les mœurs, servit bientôt à les corrompre par l’abus que l’on en fit, et par les choses licencieuses qu’on y mêla : Mais qu’y a-t-il que les hommes ne puissent corrompre, puisqu’ils abusent de ce qu’il y a de plus saint dans la Morale et dans la Religion, pour favoriser leur libertinage et leurs erreurs ?

/ 285