/ 316
280. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [R] » pp. 447-466

J’en conclus que nous mûrissons, & que nous ne donnons plus à des jeux d’enfant, l’attention que méritent les choses sérieuses.

281. (1685) Dixiéme sermon. Troisiéme obstacle du salut. Les spectacles publiques [Pharaon reprouvé] « La volonté patiente de Dieu envers Pharaon rebelle. Dixiéme sermon. » pp. 286-325

Esprit ; la grace que nous y recevons est si seconde qu’elle produit plusieurs grands & admirables effets : car premierement elle rend le Chrétien enfant adoptif de Dieu ; elle luy imprime le caractere invisible de cette adoption dans l’ame, & le signe visible sur le front, qui est le signe de la Croix. […] Or quels sont ces vœux, les voicy en peu de mots : c’est de renoncer au diable & à ces œuvres, au monde & à toutes ses pompes : La raison est que comme la grace du Baptême nous doit faire enfans adoptifs de Dieu, il faut necessairement renoncer au diable, parce qu’on ne peut estre enfant de deux peres, ny serviteur de deux maîtres.

282. (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84

Il est donc réservé à la Justice de juger s’il n’est pas plus expédient de châtier simplement cet enfant qui nous est si cher, que de l’écraser tout-à-fait. […] Quelle forte Egide fabriqua l’an passé ta Minerve, docte Enfant de Genève, pour parer les coups que l’on vouloit porter sur ta Mere !

283. (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217

Allez donc maintenant, Peres & Meres, allez conduire vos enfants à cette école prétendue de vertu, mais ne soyez pas surpris s’ils en rapportent dans le cœur une incendie qui n’éclatera peut-être qu’à votre désespoir, à votre honte, & quand il ne sera plus temps de l’éteindre.

284. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

Courage, disoit Caton à un jeune-homme qui rougissoit, courage mon enfant, cette couleur est la livrée de la vertu : Confide fili, virtutis est color.

285. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Suite d’Anecdotes Ecclésiastiques. » pp. 106-132

Le Scaphandre est une machine d’une nouvelle invention, avec laquelle tout le monde, un enfant même, peut sans peine nager comme un poisson, se tenir debout dans l’eau, & faire en nageant tout ce qu’il veut, même dans les fleuves les plus rapides, sur les gouffres les plus profonds, dans la mer la plus orageuse.

286. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

Elles sont moins gênées : le beaupère est méprisé, la bellesœur chassée, l’ami de la maison congédié, l’enfant livré à une nourrice ou à une gouvernante.

/ 316