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218. (1845) Des spectacles ou des représentations scéniques [Moechialogie, I, II, 7] pp. 246-276

Voici ce que dit Bossuet sur ce point : « Elle (l’Église) condamne les comédiens, et croit par là défendre assez la comédie ; la décision en est précise dans les Rituels, la pratique en est constante ; on prive des sacrements, et à la vie et à la mort, ceux qui jouent la comédie, s’ils ne renoncent à leur art ; on les passe à la sainte table comme des pécheurs publics ; on les exclut des ordre sacrés, comme des personnes Infâmes ; par une suite infaillible, la sépulture ecclésiastique leur est déniée.

219. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159

Il eût amusé le pattere par bien des sarcasmes ; mais il y a apparence qu’il n’en savoit pas tant, ni dans l’histoire Romaine, ni dans l’histoire Ecclésiastique.

220. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129

Mais peut-être qu’en qualité d’Ecclésiastiques et de Religieux décidés par état pour la sévérité de la morale, ces trois Ecrivains paraîtront suspects, quoique les Jésuites aient été souvent lavés de la suspicion de sévérité ; mais le fameux Bodin, qu’on n’accusera ni de superstition ni de rigorisme dans sa République (L.

221. (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167

Ainsi, qu’en Angleterre la cendre d’une actrice célèbre26 repose en paix à côté de celle de Newton et près du tombeau des rois ; que Molière, en France, n’ait pu obtenir dans l’église tout l’éclat des honneurs funèbres, cette différence n’influe en rien sur la chose en elle-même ; ce n’est là qu’une affaire de religion, et qui tient uniquement au plus ou moins de rigueur et de sévérité dans la discipline ecclésiastique, ou à la diversité des dogmes reçus dans chaque état. […] Certes, c’était une bien sage disposition que celle des novelles, au titre de episcopis aud, qui défendait aux comédiens de paraître sur le théâtre en habit ecclésiastique ou religieux. […] A la seule conférence de Saint-Sulpice, dirigée par des ecclésiastiques d’un savoir prodigieux, d’un talent bien rare pour la parole, et dont j’ai rencontré peu d’exemples encore, il est presque toujours impossible de pénétrer si l’on ne peut prévenir cette foule de jeunes auditeurs dans le local assez vaste où ils se rassemblent, mais beaucoup trop resserré pour le grand nombre de ceux qui aiment à voir pulvériser, avec tant de force et de vérité, les frêles arguments de nos déistes ou de nos athées contre la religion catholique. […] (Voyez l’Histoire ecclésiastique.

222. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194

Les usuriers, les joueurs de profession, sur tout, s’ils sont Ecclésiastiques, les concubinaires, &c.

223. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114

Toutes les loix civiles & ecclésiastiques sans exception & dans tous les pays du monde exigent la publicité des mariages & le consentement des parents ; les loix Chrétiennes de toutes les communions ordonnent la publication des bans & la présence du Pasteur.

224. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre V [IV]. De la Chaussure du Théâtre. » pp. 115-141

Tillemon, d’après les historiens ecclésiastiques, en rapporte divers exemples de S.

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