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352. (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200

Le temps ne permet pas de m’étendre sur les désordres et les inconvénients du bal, la plupart des raisons qui prescrivent l’un, condamnent l’autre, les danses sont aussi bien que les comédies un reste du paganisme, car les idolâtres croyaient rendre par là un grand honneur à leurs fausses divinités dans leurs fêtes solennelles.

353. (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426

Elle a condamné, dis-je, toutes ces espèces de spectacles, et jeux publics, quand elle a ôté l’Idolatrie mère de tous jeux, dont tous ces monstres de vanité et légèreté sont sortis.

354. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50

Je m’afflige donc et me désole de ce que vous sortez des spectacles après vous être porté un coup mortel, de ce que, pour un plaisir passager, vous souffrez de longues et cuisantes douleurs ; de ce qu’avant le supplice de l’enfer vous vous condamnez vous-mêmes ici-bas aux plus rigoureuses peines.

355. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre II. Est-il du bien de l’Etat que les Militaires aillent à la Comédie ? » pp. 20-34

 5.) porte la sévérité jusqu’à traiter de déserteur de la milice, un Soldat qui fréquente les bains et les spectacles, et fait entendre que c’était la loi qu’on suivait : « Miles lavacris et spectaculis intentus velut militiæ desertor jure damnatur. » Il est fondé sur les lois Romaines, qui condamnent à la mort un Soldat qui se serait fait Comédien, car ce métier marque en lui tant de bassesse, qu’il est indigne de servir la patrie, indigne de vivre : « Militem qui artem ludicram fecisset, capite plectendum » (L.

356. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre V. De la Dépense des Spectacles. » pp. 75-88

« Usque ad perditionem devorat. » Est-ce à tort que les saints Pères condamnent unanimement la dépense qui se fait à la comédie ?

357. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre premier. De la Musique. » pp. 125-183

Si quelque mal-adroit osait prétendre aux couronnes qu’elle distribuait, & qu’il fut jugé vaincu, il était condamné au fouet, à la férule, ou bien à être plongé dans la rivière. La punition la plus ordinaire à laquelle on condamnait les sots Auteurs de ce tems-là, était de les contraindre d’éffacer avec la langue leurs mauvais Ouvrages.

358. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

 » Amanda se décrie ici elle-même et condamne à la fois le texte de l’Écriture : elle fait voir évidemment que le bon sens et la Religion se trouvent chez elle au même degré. […] condamne l’audace de Jocaste, qui semblait rejeter une faute sur l’Oracle ; quoique après tout elle n’en accusât pas Apollon, mais ses Ministres seulement.

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