Il vaudrait mieux qu’on leur attachât une meule de moulin au cou, que de scandaliser même les petits et les faibles : « Si scandalisaverit unum de pusillis istis. » Y eût-il des pièces honnêtes, il suffit qu’il y en ait souvent de mauvaises, pour s’en abstenir toujours.
On les abandonne au ridicule attaché à l’indécence.
L’Eglise refuse de les admettre au nombre des Chrétiens, pendant qu’ils exercent une profession qu’elle déteste ; elle les regarde comme des brebis égarées et des enfants rebelles, qu’elle ne désespère pas de ramener au bercail. » « Les Comédiennes, dit l’autre, sont des séductrices de profession ; elles ne se donnent en spectacle que pour ruiner et déshonorer ceux qui sont assez imprudents pour s’attacher à elles ; elles sont la terreur des pères et des mères.
Si les Français n’étaient pas aussi attachés à leur Roi, le langage fier et républicain du cothurne produirait de mauvais effets.
.) : « On peut juger si ce spectacle devait avoir de l'éclat, par l'estimation des plus experts Joaillersu qui avaient attaché les diamants sur les habits ; leur valeur ne pouvait aller au-dessous de dix millions.
Les Romanciers les plus modernes se sont attachés à mettre de la vraisemblance dans leurs historiettes ; mais elles en sont encore plus dangereuses pour les mœurs. […] Il en résulte qu’il y avoit dans les drames des Grecs une infinité de rapports ingénieux qui devoient attacher agréablement les Spectateurs, & produisoient chez eux cette grande admiration dont on ne voit pas toujours aujourd’hui la raison, parce qu’on trouve froids & obscurs des endroits dont on n’a plus la véritable intelligence.
Savez-vous donc que celui qui quitte son Prince pour s’attacher à son ennemi, doit se résoudre à périr avec lui ?