Signé, par le Roi en son Conseil, Boucher : Il est permis au Sieur L * * p * * * * de faire imprimer, vendre et débiter un Livre intitulé, Réfutation des Sentiments relâchés d’un nouveau Théologien touchant la Comédie, avec une Décision de Sorbonne sur la même matière, par tel Imprimeur ou Libraire qu’il voudra choisir, tout ensemble ou séparément et en tel volume, marge et caractères, qu’il jugera à propos : et ce pendant l’espace de Six Années.
D’où il arrive que ceux qui ont plus de présomption que de capacité, se persuadent, contre l’expérience, qu’avec une grande théorie on ne peut faire d’ouvrages pitoyables : que ceux qui ont un peu plus de talens que de suffisance, ou un véritable génie n’osant enfreindre les loix, perdent des années & beaucoup de veilles à lutter contre leur esclavage. […] Il n’y a guère d’année où on ne publie une nouvelle poëtique.
Elle vient d’une Confrérie de la Passion qui fut fondée avant l’année 1402. en l’Eglise de la Trinité à Paris, rue Saint Denis. […] Le Concile d’Elvire de l’année 305. […] Dans l’année 1588. sur la remontrance faite par M. […] Celui de Senez de l’année 1678. page 372. « Nous déclarons pour excommuniés ceux qui vaquent aux jeux des spectacles, et Farceurs. […] Le Rituel de Bayeux de l’année 1687. page 251. compte parmi les pécheurs publics et infâmes ceux qui s’appellent Comédiens et Bateleurs.
Le budget général du clergé, pour l’année 1824, y compris les travaux extraordinaires aux édifices des diocèses, et toutes autres dépenses, est de 30.050.000 fr.
Tertullien composa cet ouvrage à l’occasion des jeux séculaires, que l’Empereur Sévère fit célébrer la douzième année de son empire, et la 205.
Nombre de Spectacles que Paris fournit dans vne année. […] Iuillet de l’année derniere 1673. […] Il mourut au commencement du Caresme de l’année derniere 1673. […] Nombre des Spectacles que Paris fournit dans vne année. […] Nous vismes aussi arriuer à Paris vne Troupe de Comediens Espagnols la premiere année du Mariage du Roy.
Le Roi de Prusse, quelques années après, s’empara de la Saxe, chassa l’Electeur avec la même facilité. […] Ce ne fut que dans sa prison à Bender, où pour se désennuyer dans une solitude de plusieurs années, on lui présenta Corneille, Racine, Despreaux : Moliere n’en fut pas ; il eût été mal accueilli. […] Après avoir passé plusieurs années à Bender, manquant de tout, vivant aux dépens du Grand-Seigneur, qui eut la générosité de le traiter toujours en Roi.