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344. (1789) Lettre à un père de famille. Sur les petits spectacles de Paris pp. 3-46

Un compagnon menuisier échappé de son établi, rendit son nom célèbre chez Nicolet par la perfection avec laquelle il jouoit le rôle de savetier.

345. (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30

» — « On dit qu’ pour établir son despotisme, il a paralysé l’ vrai genre qui convenait à c’ théâtre qui, d’ premier pour le mélodrame, est d’venu l’ dernier pour le vaudeville ; mais du reste, l’acteur et l’ directeur font d’assez bonnes affaires, les actionnaires… » J’allais en apprendre davantage, lorsqu’un équipage vint réclamer l’office du porteur de médaille, qui me planta là pour sa besogne journalière.

346. (1686) Sermon sur les spectacles pp. 42-84

Mais qui, de vous ou des dispensateurs des saints mystères établis juges des péchés, chargés de les remettre et de les retenir, décidera ce point important ?

347. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340

J’ai parlé, au chapitre qui traite des comédiens, de l’institution de la mère sotte de Paris ; mais il y avait aussi à Dijon, une société établie sous le nom de la mère folle ou mère folie, qui célébrait ses saturnales au temps de carnaval. […] L’autorité du prince, qui est émanée de Dieu même, lui donne la puissance directoriale sur toutes choses ici-bas ; c’est l’Apôtre Saint Paul, qui nous confirme cette grande vérité : « Que toute âme, que tout le monde se soumette aux puissances supérieures ; car il n’y a point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c’est lui qui a établi toutes celles qui sont sur la terre  ; « Le prince est le ministre de dieu pour votre bien » ; (Epître aux Romains).

348. (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88

Pour l’établir, il tâche de diminuer celle des Pères et des Conciles, en disant qu’ils ne se sont déchaînés (c’est son terme) f il eût pu dire plus respectueusement, récriés contre les Spectacles, que parce qu’il s’y commettait des idolâtries, ou que de leur temps il s’y passait des choses déshonnêtes. […] Jamais, par exemple, les Souverains ne prétendirent punir les mauvais desirs quand il n’en a paru aucun signe ; jamais ils n’établirent de châtiments pour les péchés purement spirituels.

349. (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132

Les raisons de douter, sont que les spectateurs de la Comédie sont comme en possession de jouir d’un divertissement, qu’ils trouvent déjà établi. […] Ce fut pour cette raison que le Parlement de Paris, par son Arrêt du 9 Décembre 1541, défendit aux Maîtres de la Confrérie de la Passion établie à l’Hôtel de Bourgogne de jouer leurs Pièces, quoique saintes, jusqu’à ce que Sa Majesté en eût ordonné autrement.

350. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71

Leur grave amateur, président des actionnaires a établi parmi eux de donner tour à tour des fêtes aux actrices ; permis néanmoins à chacun d’accorder chez lui les honneurs à la sultane favorite ; les autres chevaliers ne se voient pas sans peine, chacun voudroit les honneurs pour la dulcinée.

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