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109. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183

Ezéchiel XXIII. 44. dit que les Chaldéens sont venus en Judée, & voyant des femmes fardées n’eurent pas besoin d’autre enseigne, & sans les connoître entrèrent tout de suite dans leurs maisons, comme chez des femmes publiques, & ne se trompèrent pas, ad eam ingressi sunt quasi ad meretricem .

110. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VI. Dorat. » pp. 141-175

Oscula, amplexus, aspectus, tactus & similia ob delectationem venerèam & si non perfecta sunt semper peccata mortalia, facientes libros, & picturas excitantes ad libidinem peccant mortaliter.

111. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IV. Des Pièces pieuses. » pp. 68-95

Ce n’est pas se réjouir dans le Seigneur d’en faire une matière d’amusement ; le véritable objet de la joie Chrétienne, c’est le souvenir de ses miséricordes, la vue de ses bienfaits, l’espérance de la félicité éternelle : « Lætatus sum in his quæ dicta sunt mihi, in domum Domini ibimus. » Ce n’est pas, il est vrai, un langage à tenir aux Comédiens ; ils le prendraient pour un délire.

112. (1666) La famille sainte « DES DIVERTISSEMENTS » pp. 409-504

imo quanta confessio malærei, cujus auctores, cum acceptissimi sint, sine nota non sunt. » Tertull. de spectac. […] « Omnia vestra sunt, vos autem Christi, Christus autem Dei. » 1. […] imo quanta confessio malærei, cujus auctores, cum acceptissimi sint, sine nota non sunt. » Tertull. de spectac. […] « Omnia vestra sunt, vos autem Christi, Christus autem Dei. » 1.

113. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre I. De la Pudeur. » pp. 4-35

L’un est l’effet de la paresse, l’autre de la vanité : Ornatus et sordes pari modo fugiendi sunt.

114. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137

En ce jour le Seigneur leur ôtera leurs chaussures magnifiques, leurs croissans d’or, leurs colliers de perle, leurs brasselets, leurs coiffes, leurs rubans, leurs boucles de cheveux, leurs jarretieres, leurs chaînes d’or, leurs boëtes de parfums, leurs pendans d’oreilles, leurs bagues, leurs pierreries, qui leur pendent sur le front, leurs robes superbes, leurs écharpes, leur linge fin, leurs poinçons de diamans, leurs miroirs, leurs chemises de grand prix, leurs bandeaux, leurs habillemens légers dont elles se couvrent en été ; leurs parfums seront changés en puanteur, leurs ceintures d’or en cordes, leurs cheveux frisés en une tête nue, leurs riches habits en cilice : Eò quod elevatæ sunt, extento colle, nutibus oculorum, &c.

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