Si, après avoir recouvré la santé, l’acteur a recours à la décision de l’évêque, celui-ci verra dans sa sagesse, eu égard aux circonstances et aux dispositions du sujet, s’il doit exiger absolument qu’il abandonne le théâtre, aussitôt que possible ; ou s’il est prudent de tolérer qu’il le suive encore plus ou moins de temps, tout en lui indiquant les moyens à prendre pour se prémunir fortement contre les dangers inséparables de sa profession.
Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet.
Avant que de suivre ses impressions, il faut en rendre raison, les disséquer, les évaluer, les soumettre au ton du jour.
Avoir en même temps rendu Titus forcené d’amour et d’ambition, c’est nous avoir présenté un être impossible, que nous ne pouvons pas suivre.
… & après l’avoir renvoyée aux Conférences d’Angers, citées pag. 11 & 12, j’ajoutai ce qui suit : Tous les jeux du Théatre ne se faisoient pas en faveur des Idoles. […] Et à la pag. 671, Mrs. les Encyclopédiftes-nous invitent à suivre l’exemple des Anglois, qu’ils nous représentent comme une nation sage & éclairée. […] En parlant du Théatre Anglois, on y dit ce qui suit : … Dans lequel la vraisemblance est rigoureusement observée, aux dépens-mêmes de la pudeur. […] Les Gilosi, comme je l’ai remarqué pag. 29, n’enseignoient que des paillardises & des impudicités ; en étoient-ils moins suivis ? […] & où trouve-t-on, qu’on puisse, sans faire mal, suivre l’exemple de ces Ecclésiastiques, dont la vie est si peu réguliere, & si équivoque, que Voltaire lui-même les appelle des êtres indéfinissables ?
La Tragi-comédie nous met devant les yeux de nobles aventures entre des personnes menacées de quelque grande infortune, qui se trouve suivie d’un heureux événement. […] Comme il est parlé dans le Cas qui suit d’un Arrêt du Parlement de Paris du 9. […] Messieurs les Docteurs de Sorbonne sont priés de donner leurs avis sur les quatre demandes qui suivent. 1°. […] » a suivi ce sentiment ; et il ajoute qu’il semble que c’est un péché mortel, parce qu’on les entretient dans leur profession, et que l’on coopère à quelque chose qui est mortel. […] Les Evêques dans leurs Rituels et dans leurs Instructions touchant les Comédiens n’ont point fait un Droit nouveau : Ils ont suivi en cela les Pères de l’Eglise, et les Conciles dont on a rapporté ci-devant les autorités.