La vérité ne doit-elle donc se faire entendre qu’au moment où l’on ne peut presque plus parler, et faudra-t-il perdre son âme pour un respect tout humain ?
Les Dames, d’ailleurs si fieres, ont pour elle le plus grand respect, peut-on en avoir trop.
On auroit beau le déguiser sous le nom de charité pour un résignant, de respect pour un Collateur, dejuste reconnoissance pour un médiateur, d’obéissance pour un Supérieur, de galanterie pour une femme, de libéralité pour un Domestique.
Je crois même que le respect pour le lieu saint doit éloigner les danseurs des lieux circonvoisins des Eglises.
Déjà las de trembler, son trop juste courroux, Des maux qu’il a souffert, se fut vengé sur vous, Seigneur, mais le respect qu’il conserve à la Reine, Dans vos fers accablants le retient et l’enchaîne.
Je parlerais sans deviner : mais le respect dû au public ne me le permet pas.