/ 397
78. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125

 1. rapportées aussi par Automne dans Domat, Lois civiles, Tom. […]  44.) rapporte qu’Auguste défendit aux femmes d’assister aux spectacles ; elles n’y assistaient pas chez les Grecs. […]  12.), jusque là que par un arrêt du Sénat il fut défendu, non seulement aux Sénateurs, mais encore aux Chevaliers Romains de paraître sur le théâtre, même par jeu ; ce qu’Auguste observa soigneusement, quoique auparavant il les y employât, comme le rapporte Suétone (Aug. […] C’est ce que rapporte Cicéron dans son livre de la République, dont S.  […]  4) rapporte que ce même Scipion, si estimé et si estimable, fit supprimer le théâtre, et en vendre à l’enchère les décorations et les meubles.

79. (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806

 » L’on voit tant par la fin que se propose Saint Thomas, que par les paroles qu’il rapporte de Saint Chrysostome, qu’il parle de la Comédie dans la pratique, et comme elle se représentait de son temps. […] Mais si l’on avait vu l’Epître 87. de ce Saint, on verrait que ce Père a cru qu’il y avait autre chose dans les spectacles que de la vanité : Il rapporte ce que les gens du monde disent de la vie Religieuse, qui n’est à leur avis qu’un jeu. […] Saint Louis dans le siècle suivant chassa les Comédiens de son Royaume, comme il est rapporté dans sa vie. […] Les paroles de cet Auteur ont été rapportées plus haut. […] L’on peut voir ce que l’on a rapporté ci-devant de Saint Basile, de S.

80. (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien quatrieme. Sur la vanité & le danger des Bals, & des Danses en particulier, Tiré de la Bibliotheque des Predicateurs, composé par le Reverend Pere Vincent Houdry de la Compagnie de Jesus. » pp. 57-66

Ce qu’on en rapporte est la perte de l’innocence, une mauvaise impression, que les passions, qu’on a naîvement representées, & les personnes, qu’on a vûës peuvent faire. […] C’est pour pourquoi on ne peut authoriser, ni justifier les danses profanes de ce tems par l’exemple de celles que rapporte l’Ecriture… Nous voyons dans l’Evangile de Saint Matthieu chap. 14. que la danse a fait perdre la vie au saint Précurseur du Fils de Dieu, & que la tête de saint Jean-Baptiste, qui pouvoit, dit saint Chrysostome, convertir tout le monde, a été le prix d’une baladine.

81. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre IX. Du Dialogue. » pp. 320-335

C’est dans cet instant qu’ils forment ensemble le Dialogue que je vais rapporter. […] ……………………………………………… ……………………………………………… Je me dispense de rapporter le reste de cette Scène un peu longue, & j’espère que le Lecteur m’en saura gré.

82. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre V. Il n’est point de Drame sans Mœurs. » pp. 139-141

Il suit à la lettre le précepte d’Aristote qui dit ; « La seconde chose qu’il y a à observer dans les mœurs, c’est qu’elles soient convenables7. » Les passions des Héros de la Tragédie ont une certaine convenance ensemble ; elles se rapportent également au Prince & à son Confident.

83. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81

La question qu’il propose dans l’article second est à savoir s’il y a des choses « plaisantes, joyeuses : ludicra, jocosa » : qu’on puisse admettre dans la vie humaine ; « tant en actions qu’en paroles, dictis seu factis » : en d’autres termes, s’il y a des jeux, des divertissements, des récréations innocentes : et il assure qu’il y en a, et même quelque vertu à bien user de ces jeux, ce qui n’est point révoqué en doute : et dans cet article il n’y a pas un seul mot de la comédie : mais il y parle en général des jeux nécessaires à la récréation de l’esprit, qu’il rapporte à une vertu qu’Aristote a nommée eutrapelia De mor. 4. 14.

/ 397