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230. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE II. Le Théâtre purge-t-il les passions ? » pp. 33-54

La tragédie n'est pas moins pleine de scélérats d'un haut rang : vengeance, assassinats, empoisonnements, ambition, révolte, fureur, désespoir ; il n'y a presque point de scène où il ne soit question de quelque crime.

231. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100

Il n’y a presque point de Scene où il ne soit question de quelque forfait. […] Gedouin, dans une Dissertation insérée dans le second Tome des Mémoires de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, il est difficile de juger la question.

232. (1772) Sermon sur les spectacles. Pour le Jeudi de la III. Semaine de Caresme [Sermons pour le Carême] « Sermon sur les spectacles » pp. 174-217

Là-dessus, Messieurs, je forme le plan de ce Discours, en proposant simplement deux questions.

233. (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386

Voilà deux questions qui n’en font qu’une. — Ceux qui veulent des autorités multipliées et irréfragables, les trouveront rassemblées dans les lettres sur les spectacles, par Mr. de Boissy.

234. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Du Fard. » pp. 143-168

Ce livre bon dans le fond, n’a pas eu tout le succès qu’on s’étoit promis, les questions qu’il traite après l’article de la beauté, sont trop sérieuses, trop savantes, trop dégoutantes pour des femmes & des petits maîtres, qui n’aspirent point au degré de Docteur ; ce qui le fait rentrer dans la foule des livres de médecine, qui n’ont rien d’amusant pour des gens frivoles.

235. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

On ne propose ici, comme en cent autres articles de la morale, cette question captieuse que pour faire diversion, & écarter la juste crainte d’offenser Dieu qui doit proscrire le fard.

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