/ 398
92. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « I. Occasion et dessein de ce Traité : nouvelle Dissertation en faveur de la Comédie. » pp. 1-3

Des personnes de piété et de savoir qui sont en charge dans l’Eglise, et qui connaissent les dispositions des gens du monde ont jugé qu’il serait bon d’opposer à une dissertation qui se faisait lire par sa brièveté, des réflexions courtes, mais pleines des grands principes de la religion : par leur conseil, je laisse partir cet écrit pour s’aller joindre aux autres discours qui ont déjà paru sur ce sujet.

93. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXIV. Conséquences de la doctrine précédente. » pp. 136-137

Par tous ces principes des saints pères, sans examiner le degré de mal qu’il y a dans la comédie, ce qui dépend des circonstances particulières, on voit qu’il la faut ranger parmi les choses les plus dangereuses ; et en particulier on peut juger si les pères ou les saints docteurs qui les ont suivis, et Saint Thomas comme les autres, avec les règles sévères qu’on vient d’entendre de leur bouche, auraient pu souffrir les bouffonneries de nos théâtres, ni qu’un chrétien y fît le ridicule personnage de plaisant.

94. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  TABLE DES CHAPITRES. » pp. 3-4

Athalie conforme à tous les Principes d’Aristote, nous met-elle en état de disputer aux Grecs lu supériorité dans la Tragédie ?

95. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Avis au lecteur. » pp. -

Si le premier est d'un style partout élevé avec beaucoup d'élégance et de justesse ; le dernier a beaucoup d'endroits qui feront reconnaître qu'il vient de la même origine ; et si le dernier est rempli d'une doctrine curieuse, et de difficile recherche, on se peut souvenir que le premier a toujours eu quelques principes savants et singuliers pour le fondement des plus agréables choses qu'il contient.

96. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XVIII. D’une excuse de laquelle se servent ordinairement les gens du monde, pour justifier la conduite des jeunes hommes, et des jeunes filles qui vont au bal. » pp. 142-145

Mais peut-on bien espérer que Dieu donnera bénédiction à des alliances qui prennent leur naissance des principes si corrompus et si opposés à son esprit ?

97. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XVIII. Sentiment d’Aristote.  » pp. 66-68

Mais laissons, si l’on veut à Aristote, cette manière mystérieuse de les purifier, dont ni lui ni ses interprètes n’ont su encore donner de bonnes raisons : il nous apprendra du moins qu’il est dangereux d’exciter les passions qui plaisent ; auxquelles on peut étendre ce principe du même philosopheAristote, Politique, 8. 4.

/ 398