page 68, ligne 9 : Citoyens ; lisez, Citoyennes. […] — 145, ligne 2, après le mot Comédie, mettez un (*), & au bas de page, ajoutez en note : (*) Il vient de paraître un second Volume du Nouveau Théâtre Anglais, par madame Riccoboni, contenant trois Pièces, la Fausse-délicatesse, la Femme-jalouse, & l’Il-est-possédé : les deux premières sont des chefs-d’œuvres dignes de notre Théâtre.
Et à la page 139, il prive de la Communion ces derniers, comme pécheurs publics. […] Et à la page 291, on exclut des saints Ordres les Bouffons, les Bateleurs, les Comédiens et les Farceurs. […] Le Rituel de Reims, page 119, met entre ceux à qui il faut refuser la Communion, les Pécheurs publics, les Bateleurs, les Farceurs ; et à la page 619, il les prive de la sépulture. […] La Morale de Grenoble tome 3, page 175, déclare infâmes et incapables d’être Parrains ; et page 290, elle déclare incapables de la sainte Communion les Farceurs, Bateleurs et les Comédiens. […] Cap. 1, tome 6 page 569. edit. ult.
Page 25. ligne 19. dans ma seconde, lisez dans ma troisième. Page 273. ligne seconde, on drait, lisez on dirait.
Nous osons donc espérer qu’on voudra bien parcourir avec attention ces pages où nous avons présenté l’opinion de plusieurs écrivains illustres et moraux, touchant les plaisirs de la scène. […] Sans doute, nous sommes loin d’avoir discuté le sujet dans toute son étendue ; nous nous sommes contenté d’en mettre un léger aperçu sous les yeux du lecteur : mais, quelque bornées que soient les limites que nous nous sommes imposées, nous ne doutons pas que ce petit nombre de pages n’appelle la plus sérieuse attention.
Tom. 2. page 372, et Dictionnaire des conciles, page 721 ; « Ut clericis interdicatur mulieres in domo sua habere, omnimodis decernimus. […] Nous lisons encore dans l’Histoire du droit canonique, 1 vol. in-12, pages 385 et 393, au chapitre de la puissance des rois comme protecteurs des canons ; « Que le prince temporel ne peut pas faire la discipline ecclésiastique, mais qu’il doit la maintenir ; « Que les puissances temporelles sont nécessaires dans l’Eglise, afin de suppléer par leur pouvoir à ce que l’étendue de la parole ne peut faire ; « Que le prince a la liberté de choisir, parmi les différents usages, ceux qui sont plus conformes au bien de son Etat ; qu’il peut rejeter tout à fait, ou modifier les décrets de discipline faits par des conciles, même généraux ; pag. 394 ; « Que les ecclésiastiques ont un double lien qui les soumet à l’autorité royale ; 1° leur qualité de citoyen qui les soumet à la puissance politique comme tous les autres sujets ; 2° leur qualité d’ecclésiastique qui les soumet au prince qui, comme protecteur des saints canons, doit veiller à leur exécution ; pages 400, 401 ; « Que cette même qualité de protecteur des saints canons donne droit au roi de veiller sur les mœurs des ecclésiastiques, afin de s’opposer au relâchement de la discipline de l’Eglise » ; pag. 402.
Superiorum permissu ; in-8°. 416 pages. […] de 288 pages. […] 1699 ; in-8°. de 367 pages. […] in-12 de 509 pages. […] Celle-ci commence à la page 42.