Les expressions, dit-il, tome I. page 674, les gestes, les tours, les intrigues, tout porte au faux amour. […] Tout ce qui a été dit page 9, & suivantes, en est une preuve sans replique.
2 Après avoir rapporté les sixieme, septieme & douzieme Conciles généraux, & les autres monumens cités depuis la page 4 & suivantes, je priai la Dame de me dire, comment il pouvoit y être question d’Idolatrie ? […] Enfin, aprés lui avoir mis sous les yeux tout ce qui a été dit depuis la page 62 jusqu’à 94. […] Thomas, page 546.
Ces quatre sont dans la même page, dans l’espace de 24 vers.
L e voila ; il est à côté de moi ; il travaille ; il lit ; il copie ; je ne lui laisse pas un moment de relâche ; vingt pages depuis hier : l’oisiveté, dit-on, est la mère du vice, & je veux l’en préserver.
Ce n’est point aux champs de Coutras où les armes victorieuses firent échouer des Etats les manœuvres insidieuses (au bas de la page). […] Les notes au bas des pages, les traits qu’elles renferment ne sont pas plus glorieux.
Le Mercure faisant l’extrait du discours présenté à l’Académie par le sieur la Harpe (devenu fameux par l’arrêt du Conseil) quoique son éloge de Moliere ait plus de cent pages, & que l’auteur pour le rendre digne du prix y ait donné ses plus grands soins : Ce n’est, dit-il, qu’une esquisse. […] Mais pour payer son tribut à la mémoire de Moliere (tribut à Moliere), il jette sur le papier quelques idées (idées de cent pages) qu’il n’auroit pas envoyées à l’Académie (il auroit bien fait pour lui & pour elle,) s’il n’avoit cru que tout ce qui regardoit Moliere (jusqu’à ses croquis) appartenoit dans ce moment à ce Corps illustre (comme des matériaux destinés au grand ouvrage qu’elle prépare sur Moliere) qui lui rendoit un si juste hommage (& employoit à cela toute sorte de mains) : Tantæ molis erat Romanam condere gratem.