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238. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE II. Anecdotes de Théatre.  » pp. 41-71

En France c’est le rendez-vous d’une poignée de gens des œuvres, à peu près toujours les mêmes, & l’on veut que ce soit l’école de la vertu pour la nation, le dépot où elle puise les grands sentimens & les qualités aimables.

239. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 68-96

La Tragedie ou Tragi-Comedie de Psiché attribuée à Moliere, est insérée dans ses œuvres ; quoique de divers auteurs.

240. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183

Punition juste & particulière des femmes éprises de leur beauté, qui mettent tout en œuvre pour l’embellir.

241. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre IV. Du Conquérant de Sans-souci. » pp. 88-120

consultez mes Œuvres & mon Code, le portrait est fidele, j’ai tenu le pinceau, je dois me connoître.

242. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE IV. Traité de la Danse de Cahusac. » pp. 76-104

Les attraits séduisans de la volupté, qui corrompent les mœurs, le portent à toutes les œuvres de la chair, en sont inséparables.

243. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301

 » Il ajoute que la plainte générale d’aujourd’hui est que les Ecrivains n’ont rien de Poète que le nom ; que la poésie et en particulier celle du Théâtre ne met plus en œuvre que l’obscénité, la profanation et la licence effrénée d’outrager Dieu et les hommes : il confesse que cette plainte n’est que trop bien fondée, et marque une extrême douleur de ne pouvoir pas la démentir : il se flatte pourtant que tous ses confrères ne sont pas embarqués dans cette horrible entreprise de se damner. « A mon égard, poursuit-il, j’ose avancer, et je le fais sur le témoignage sensible de ma conscience, que j’ai toujours tremblé à la moindre pensée d’impiété et que j’ai toujours frémi des ordures qui sont aujourd’hui l’aliment du Théâtre.… Quel homme raisonnable, ou quel homme bien né ne rougit pas d’enflammer ainsi la convoitise ?

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