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27. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre IV. Que les Danses sont défendues dans les lieux saints. » pp. 22-25

Cessent in Ecclesia, earumque cœmeteriis negotiationes, et præcipue nundinarum ac fori cujuscumque tumultus, omnis in eis sæcularium judiciorum strepitus conquiescat, nulla inibi causa per laicos criminalis maxime agitetur. » Lib. 3. sext. […] Cessent in Ecclesia, earumque cœmeteriis negotiationes, et præcipue nundinarum ac fori cujuscumque tumultus, omnis in eis sæcularium judiciorum strepitus conquiescat, nulla inibi causa per laicos criminalis maxime agitetur. » Lib. 3. sext.

28. (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43

 » (Bossuet, Maximes et réflexions sur la comédie.) […] Auteur célèbre d’un grand nombre de pièces, il abjura ses travaux couronnés, et déclara les maximes de ces sortes d’ouvrages diamétralement opposées aux maximes du christianisme. […] dit-il à ses amis, des maximes qui feraient horreur dans le langage ordinaire se produisent impunément ; dès qu’elles sont mises en vers elles montent sur le théâtre. […] -C. vienne s’asseoir dans ces lieux, où Satan a élevé son trône ; dans ces lieux où les maximes de son Évangile sont contredites, méprisées et foulées aux pieds ! […] Or, quelles atteintes mortelles ne doivent pas donner à leur innocence le nombre infini de maximes empestées, qui se débitent dans les tragédies, dans les opéras, et les expressions, les images licencieuses, que présentent les comédies ?

29. (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « V. » pp. 23-26

« Pour comble de misère, un tas de faux Docteurs Vint flatter les péchés de discours imposteurs, Infectant les Esprits d’exécrables maximes, Voulut faire à Dieu même autoriser les crimes. […] Je me contenterai d’avertir ici que dans votre Dictionnaire faire refleurir la Religion et la piété dans un Diocèse, c’est y mettre le trouble et la confusion ; c’est en bannir les Ecclésiastiques les plus éclairés et les plus pieux, ou les mettre hors d’état de servir l’Eglise ; en un mot, c’est ruiner en deux ou trois mois, autant que l’on peut, le fruit d’un long et pénible travail de tout Evêque, quelque Saint qu’il eût été, qui n’aurait pas approuvé vos mauvaises maximes et votre conduite relâchée.

30. (1707) Lettres sur la comédie « LETTRE, de Monsieur Despreaux. sur la Comédie. » pp. 272-275

Du reste, vous y avancez une maxime qui n’est pas, ce me semble, soutenable ; c’est à savoir, qu’une chose qui peut produire quelquefois de mauvais effets dans des esprits vicieux, quoique non vicieuse d’elle-même, doit être absolument défendue, quoiqu’elle puisse d’ailleurs servir au délassement et à l’instruction des hommes. […] Si votre maxime est reçue, il ne faudra plus non seulement voir représenter ni Comédie ni Tragédie, mais il n’en faudra plus lire aucune ; il ne faudra plus lire ni Terence, ni Sophocle, ni Homère, ni Virgile, ni Théocrite : et voilà ce que demandait Julien l’Apostat, et qui lui attira cette épouvantable diffamation de la part des Pères de l’Eglise.

31. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIX. Les Spectacles condamnés par les saintes Ecritures. » pp. 164-167

Quelle nécessité y avait-il en effet de faire un précepte pour des choses qui étaient si visiblement indignes du nom chrétien, si contradictoirement opposées à l’esprit et aux maximes du christianisme ? […] Ils ne les défendent pas en particulier quelque part, parce qu’ils les condamnent partout : car que signifie autre chose tout ce que l’Evangile et l’Ecriture sainte nous disent de la pureté du cœur, qui est la base de la vie chrétienne, tout ce qu’ils nous disent de la mortification des sens, de la légèreté de l’esprit, de la faiblesse de la chair, de la force des passions, de la malice et des ruses du tentateur, du danger de s’exposer aux moindres occasions d’être tenté ; tout ce qu’ils nous disent de l’attention et de la vigilance sur les désirs, de la modération des plaisirs, de la perversité des maximes et des joies mondainesbq ? 

32. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Il abjura ses travaux couronnés, & déclara les maximes de ces sortes d’ouvrages, diamétralement opposées aux maximes du Christianisme. […] Quelles horribles maximes ! […] Maximes pour se conduire chrétiennement dans le monde. Les maximes & les réfléxions du Grand Bossuet sur la Comédie. […] Bossuet, maximes &c. pag. 6 & 7.

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