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233. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Fêtes de Théatre. » pp. 95-114

Le titre des pieces est aussi François que le langage, l’intrigue, le dénouement ; les hommes à la mode, les liaisons du jour, les acteurs de société, &c.

234. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE IV. De la Médisance. » pp. 80-99

Le langage d’Aristophane, dit Plutarque, sent son misérable charlatan.

235. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE II. Histoire de la Poësie Dramatique chez les Grecs. » pp. 17-48

Plusieurs Poëtes réussirent dans ce nouveau genre : mais la gloire de Menandre couvrit de ténebres leur nom, dit Quintilien, qui malgré les éloges qu’il donne aux sages Comédies de Menandre, regrette ces graces du langage Attique, & cette éloquente liberté qui regnoit dans la vieille Comédie.

236. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Septième Lettre. De la même. » pp. 73-99

Dans ces trois Pièces, le jeune-homme ne voit que des objets séduisans ; il n’entend que des maximes libres ou mondaines ; on allume la volupté dans ses sens, l’on parle à son cœur un langage passionné ; mais il n’y trouve pas un petit mot dont il puisse profiter.

237. (1758) Lettre à M. Rousseau pp. 1-42

Mais l’imposture a pris cent fois ce langage enchanteur : j’ai vu le malheur des hommes ; dois-je me fier à des serments !

238. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187

La Philosophie tenoit alors le même langage qu’elle tient aujourd’hui, & cependant son héroïne donne pendant toute sa vie le mauvais exemple d’un célibat volontaire, de libertinage & d’indépendance, & d’une stérilité célebrée jusqu’à donner le nom à une grande région. […] Il fit tenir aux yeux de l’amante le langage qu’elle eût voulu prêter à ses levres.

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